Suivre une formation rédacteur web, travailler d’où on veut, gagner 3 000 € par mois en écrivant…
Voilà la promesse en or que nous vendent certaines formations en rédaction web.
Un rêve qui sent bon la liberté, la reconversion facile et l’indépendance financière.
Sauf qu’une fois le paiement validé, la réalité est tout autre :
❌ Marché saturé
❌ Techniques dépassées
❌ Absence totale de débouchés
Derrière ces formations aux tarifs exorbitants se cache une industrie bien rodée, qui exploite la naïveté des débutants et la détresse de ceux qui cherchent une issue professionnelle rapide.
Les créateurs de ces programmes ne sont plus rédacteurs depuis longtemps.
Leur véritable métier ? Vendre du rêve… et encaisser les paiements.
SEO d’un autre âge, storytelling trompeur, fausses success stories, business d’affiliation douteux…
Tout est pensé pour vous faire croire que cette formation est la clé de votre avenir.
Mais après des mois d’efforts et plusieurs milliers d’euros envolés, beaucoup réalisent qu’ils ont juste acheté un bout de papier inutile et des conseils déjà obsolètes.
→ Alors, comment ces formations piègent-elles les élèves ?
→ Pourquoi tant d’anciens inscrits finissent sur des plateformes low-cost, payés une misère ?
→ Et surtout, comment repérer ces arnaques avant d’y laisser son argent et ses illusions ?
Rédacteur web freelance depuis 2011, je vous emmène avec dans l’univers sombre des formations en rédaction web…
Et on décrypte ensemble un système qui a tout compris à l’art de faire du fric sur le dos des rêveurs !
Avant de commencer
Avant de vous dire ce que personne n’ose avouer sur ces formations, il y a quelque chose que vous devez savoir sur moi.
Je ne vais pas vous mentir. J’ai moi-même vendu une formation en rédaction web. Avec Matthieu Verne, notamment.
J’ai utilisé ces méthodes marketing, celles-là mêmes que je dénonce aujourd’hui. J’ai raconté des success stories bien emballées, j’ai mis en avant des résultats exceptionnels sans toujours parler de la réalité du terrain.
Pourquoi ? Parce que c’est comme ça que fonctionne cette industrie.
Parce que c’est ce qu’on nous apprend à faire pour vendre.
Mais aujourd’hui, j’en ai marre de ce cirque. J’ai vu comment ça marche, de l’intérieur. J’ai compris que ça ne servait à rien de vendre du rêve quand la majorité des élèves finissent déçus, sans clients et sans avenir clair.
👉 Alors oui, mon site porte encore les traces de ce passé.
👉 Oui, vous trouverez peut-être encore ici ou là des pages qui respirent l’ancienne version de moi.
Mais tout ça, c’est terminé.
Je fais table rase et je prends le risque d’aller à contre-courant (et je pense que je ne vais pas me faire beaucoup d’amis en faisant ça). Mais tant pis.
Je préfère être honnête et perdre des ventes, plutôt que de continuer à participer à cette mascarade.
Une industrie qui vend du rêve… mais pas de résultats
Bienvenue dans l’univers magique de la formation rédacteur web, où l’on vous promet monts et merveilles : travailler en pyjama depuis une plage paradisiaque, gagner 3 000 € par mois en quelques semaines et trouver des clients en claquant des doigts.
La réalité est tout autre.
Ces formations misent tout sur un discours vendeur :
“Moi aussi, j’ai galéré avant de devenir un rédacteur web à succès”.
Une success story bien rodée, un parcours semé d’embûches qui finit en conte de fées entrepreneurial… et une invitation à “suivre la même méthode pour obtenir les mêmes résultats”.
Rien de tel qu’une poignée d’élèves (les exceptions) qui ont réussi à décrocher quelques contrats juteux pour faire rêver les futurs clients.
Ces témoignages, soigneusement mis en avant, laissent entendre que la réussite est à portée de main… alors que la majorité des inscrits peinent à rentabiliser leur investissement.
Ce que ces formations omettent souvent de préciser, c’est que la rédaction web est un secteur saturé.
La promesse de “trouver facilement des clients” est une chimère quand des milliers de rédacteurs formés par ces mêmes écoles se battent pour décrocher des contrats… parfois à 3 centimes le mot.
Une fois les modules terminés, la réalité frappe de plein fouet : trouver des missions bien payées est une autre histoire.
Beaucoup finissent sur des plateformes comme Textbroker ou Fiverr, payés une misère pour des textes formatés, loin du rêve vendu en début de formation rédacteur web.
Ces formations ne vendent pas un métier, elles vendent un rêve inatteignable pour la majorité des élèves.
Elles capitalisent sur l’envie de reconversion, la quête de liberté financière et la peur de l’avenir…
… pour au final, laisser des rédacteurs novices sans véritable stratégie, sans clients, et avec un portefeuille allégé.
👉 À lire également : Comment se faire une place en tant que rédacteur web débutant en 2025 ?
Des techniques dépassées qui n’ont plus aucun impact
Si les formations en rédaction web étaient des logiciels, elles tourneraient encore sous Windows 95.
Le problème ? Le web évolue à une vitesse folle, mais ces formations continuent d’enseigner des techniques dépassées, inefficaces et souvent contre-productives.
Résultat : des rédacteurs formés avec des méthodes d’un autre temps, totalement à côté de la plaque face aux exigences actuelles du marché.
Un SEO resté bloqué en 2015
On vous vend encore la fameuse “recette miracle” du SEO :
✅ Des mots-clés à gogo (bonjour le keyword stuffing)
✅ Un champ lexical ultra-forcé (comme si Google était un prof de français rigide)
✅ Une structure d’article rigide : H1, H2, H3… et surtout, surtout, ne pas dévier de la sacro-sainte hiérarchie des titres !
La réalité ? Google a changé les règles du jeu. Aujourd’hui, le moteur de recherche privilégie :
✔ L’intention de recherche (ce que l’utilisateur veut vraiment trouver)
✔ L’EEAT (Expérience, Expertise, Autorité, Fiabilité)
✔ Les contenus engageants, interactifs et multimédias (vidéos, infographies, podcasts…)
Ce qu’on vous apprend dans ces formations ? C’est bon pour remplir des fermes de contenu, pas pour percer en tant que rédacteur web compétitif.
Une vision archaïque de la rédaction web
Dans ces formations, on vous dit encore que :
❌ “Un bon rédacteur web, c’est quelqu’un qui sait bien écrire.”
❌ “L’important, c’est de bien structurer ses articles pour Google.”
❌ “Si votre texte est clair et bien orthographié, il trouvera son public.”
La vérité ? Aujourd’hui, écrire ne suffit plus.
Les entreprises recherchent des rédacteurs capables de :
✔ Créer du contenu qui convertit (copywriting, storytelling, UX writing)
✔ Adapter leur plume à la stratégie marketing d’une marque
✔ Intégrer l’IA dans leur workflow pour produire plus vite et mieux
Si vous appliquez encore les vieilles méthodes, vous risquez de vous retrouver largué face à la nouvelle génération de rédacteurs qui savent vendre et convaincre.
👉 À lire également : Les 12 plus GROSSES tendances SEO 2025 à surveiller (de très près)
L’IA ? On en parle… ou pas ?
ChatGPT, Jasper, Bard… L’intelligence artificielle a révolutionné la création de contenu.
Pourtant, ces formations continuent d’ignorer le sujet ou, pire, diabolisent l’IA en disant que “seuls les vrais humains écrivent bien”.
Le problème ? Aujourd’hui, un rédacteur web qui ne sait pas travailler avec l’IA est un rédacteur web… dépassé.
Les clients ne veulent plus payer pour des textes basiques qu’une IA peut générer en 30 secondes. Ils veulent du contenu stratégique, optimisé, et qui se démarque.
👉 À lire également : Comment écraser la concurrence avec le référencement SearchGPT ?
Une formation dépassée = un avenir incertain
Se former avec des techniques obsolètes, c’est comme apprendre à conduire avec une calèche alors que tout le monde roule en Tesla.
Le web évolue, les attentes des clients aussi.
Si une formation ne vous apprend pas à écrire pour 2025 et non pour 2015, alors elle vous prépare à l’échec.
Des “experts” qui ne travaillent même plus dans le domaine
Ah, ces fameux gourous de la rédaction web…
Ces mentors autoproclamés, ces “formateurs à succès” qui passent plus de temps à vendre leur formation qu’à écrire un vrai article optimisé.
Spoiler : la plupart n’ont plus mis les mains dans un vrai projet depuis des années.
Des formateurs qui vivent… de la vente de formation
Regardez bien leur parcours.
Ont-ils de vrais clients ? Font-ils encore de la rédaction web pour des entreprises hors de leur propre business ?
La réponse est souvent NON.
Leur business modèle repose à 100% sur la formation : ils vendent du rêve, engrangent des milliers d’euros, et la boucle est bouclée.
Leur seule mission ? Trouver toujours plus de pigeons à plumer. Conférences inspirantes, webinaires pleins de storytelling, et surtout… des pubs bien ciblées qui promettent de transformer votre vie en trois mois.
💡 La vérité ? Ils ne gagnent pas leur vie en appliquant leurs propres conseils, mais en vous convainquant d’acheter leur programme.
Si leur méthode était si efficace, ils seraient encore rédacteurs… et n’auraient pas besoin de vendre des formations à la pelle.
Un savoir qui date d’un autre temps
La dernière fois qu’ils ont rédigé un vrai article SEO ? Peut-être en 2018.
Depuis, ils enseignent toujours les mêmes techniques, alors que Google, l’IA et le marketing digital ont totalement changé la donne.
Ce qu’ils ne vous disent pas ?
❌ Que le SEO d’aujourd’hui ne fonctionne plus comme avant
❌ Que l’IA est en train de révolutionner la rédaction web
❌ Que les clients ne cherchent plus juste des articles bien écrits, mais des textes qui vendent, engagent et convertissent
Et pendant ce temps, les vrais experts évoluent
Les rédacteurs qui bossent vraiment s’adaptent, testent de nouvelles stratégies, utilisent l’IA intelligemment et savent se vendre autrement que via une formation bullshit.
Un business qui repose sur l’illusion
Leur force ? Un personal branding ultra léché.
Ils se présentent comme les maîtres du game, alignent quelques témoignages bien choisis et jouent sur la crédulité des débutants qui rêvent de reconversion.
❌ Mais où sont leurs propres clients ?
❌ Pourquoi ne produisent-ils jamais de contenu ailleurs que pour leur formation ?
❌ Pourquoi aucun gros site, aucune agence, aucun business sérieux ne fait appel à eux ?
Réponse : Parce que leur expertise ne vaut plus rien sur le terrain.
Conclusion : méfiez-vous des faux gourous
Un bon formateur, c’est quelqu’un qui applique ce qu’il enseigne, en temps réel, dans le monde réel.
Pas un vendeur de rêve qui récite les mêmes conseils depuis des années sans jamais les remettre en question.
Moralité ? Si votre “mentor” n’a plus de vrais clients et ne gagne sa vie que grâce à sa formation… fuyez.
👉 À lire également : Mon guide plus que pratique pour choisir une formation rédacteur web
Maintenant que vous avez compris l’ampleur du bullshit, il est temps d’apprendre à dégainer le détecteur de pipeau.
Parce que oui, ces formations ont un marketing bien rodé, et il est parfois difficile de voir l’arnaque avant d’avoir claqué 2 000 € pour… du vent.
Voici un kit de survie anti-formation bidon, pour éviter de tomber dans le piège !
1. Vérifiez si le formateur a encore (ou a déjà eu) une vraie carrière de rédacteur web
Avant d’écouter quelqu’un, posez-vous LA question à 100 euros :
👉 Est-ce qu’il gagne encore sa vie en écrivant pour des clients… ou seulement en vendant des formations ?
Les bons réflexes :
✅ Vérifiez s’il publie des articles ailleurs que sur son propre site de formation.
✅ Cherchez son nom sur Google : a-t-il signé des contenus récents pour des entreprises ?
✅ Consultez son portfolio et les clients avec lesquels il a travaillé.
❌ S’il ne produit plus rien en dehors de sa formation, méfiance.
2. Méfiez-vous des promesses trop belles pour être vraies
“Gagnez 3 000 € par mois en rédigeant de chez vous en quelques semaines !”
❌ FAUX. Personne ne passe de débutant total à rédacteur bien payé en trois mois, sauf miracle.
Un vrai bon formateur vous dira :
✔ “Le marché est concurrentiel, voici comment vous différencier”
✔ “Il faudra du temps et du travail avant d’être rentable”
✔ “La rédaction seule ne suffit pas, il faut des compétences en marketing et en copywriting”
Si tout semble trop facile, c’est une arnaque.
3. Regardez la date et le contenu du programme
Le web évolue vite. Si la formation n’a pas été mise à jour depuis plusieurs années, fuyez.
Les points à vérifier :
✅ Le SEO enseigné est-il à jour ? (prise en compte de l’intention de recherche, EEAT, contenu multimédia)
✅ Parle-t-on d’IA et de son intégration dans la rédaction ?
✅ Y a-t-il des modules sur le copywriting et le content marketing ?
❌ Si on vous parle encore de SEO basé sur le bourrage de mots-clés et qu’on diabolise l’IA, c’est dépassé.
4. Consultez les avis… mais pas ceux affichés sur leur site
Les faux formateurs mettent souvent en avant des témoignages trop parfaits.
Les bons réflexes :
✅ Cherchez des avis indépendants sur Reddit, Trustpilot, ou des forums spécialisés.
✅ Contactez d’anciens élèves pour avoir un retour honnête.
✅ Méfiez-vous des influenceurs qui en font la promotion : ils touchent souvent une commission.
✔ Si les seuls avis positifs viennent du site du formateur lui-même, prudence.
5. Vérifiez si la formation donne des outils concrets pour trouver des clients
Une bonne formation ne se limite pas à la théorie. Elle doit vous apprendre à :
✔ Créer un vrai portfolio (avec des exemples concrets, pas des exercices bidons).
✔ Trouver des clients autrement que via des plateformes qui paient au lance-pierre.
✔ Fixer des tarifs rentables et négocier efficacement.
❌ Si la seule issue proposée est de s’inscrire sur des plateformes bas de gamme, passez votre chemin.
Ne vous laissez plus avoir
Les formations bidon prospèrent sur des illusions et des promesses faciles. Avant de payer, posez-vous cette question :
“Cette formation me prépare-t-elle pour 2025… ou me vend-elle du rêve version 2015 ?”
Si la réponse est évidente… vous savez quoi faire.
Le business de la reconversion : pourquoi ces formations ciblent-elles les débutants et les précaires ?
Ces formations ne s’adressent pas à des professionnels du digital ou du marketing.
Leur cible idéale, c’est vous : la personne en quête d’un nouveau départ, fatiguée du salariat, qui rêve de liberté et d’indépendance financière.
Elles savent très bien où frapper :
👉 Les mères au foyer qui veulent un revenu flexible.
👉 Les salariés en burn-out qui rêvent d’un métier “passion”.
👉 Les chômeurs qui cherchent une reconversion rapide.
👉 Les étudiants et précaires attirés par la promesse d’un job sans diplôme.
Une stratégie émotionnelle bien rodée
L’argument n°1 de ces formations, ce n’est pas la rédaction web, c’est l’histoire de leur créateur.
“Moi aussi, j’étais perdu.e… puis j’ai découvert la rédaction web. Aujourd’hui, je gagne 5 000 € par mois en écrivant depuis mon canapé.”
Ce discours est hyper efficace, car il joue sur l’identification et l’émotion.
On ne vend pas une compétence, on vend un rêve : celui de s’échapper d’une situation inconfortable.
Un business basé sur la peur et l’urgence
Pour convertir un maximum d’élèves, on utilise les mêmes techniques que les arnaques en ligne :
👉 La peur du futur : “Le marché de l’emploi est bouché, vous devez vous lancer maintenant.”
👉 Le faux sentiment d’urgence : “Les inscriptions ferment bientôt, ne ratez pas cette opportunité.”
👉 Le syndrome du “ça marche pour les autres, pourquoi pas moi ?” avec des témoignages soigneusement sélectionnés.
Le problème : aucune garantie d’emploi derrière
Ces formations vous font croire qu’il y a de l’or à la pelle dans la rédaction web.
La réalité ?
❌ Le marché est ultra saturé par les rédacteurs formés chaque année.
❌ Les clients ne manquent pas… mais ceux qui paient bien sont rares et exigeants.
❌ Sans compétences solides en copywriting, marketing et SEO avancé, il est quasi impossible de vivre confortablement de la rédaction.
Un piège pour les plus vulnérables
Ce modèle économique repose sur des illusions et des besoins pressants.
Il cible des personnes prêtes à investir non pas parce qu’elles croient au métier, mais parce qu’elles veulent s’en sortir vite.
Le problème ? Une fois la formation payée, elles se retrouvent seules, face à un marché plus compliqué que prévu, sans réel accompagnement pour réussir.
Pourquoi ces formations ne garantissent aucun job (mais font tout pour le cacher)
Si ces formations étaient aussi miraculeuses qu’elles le prétendent, on verrait des centaines d’anciens élèves exploser sur le marché et décrocher des contrats en or.
Mais non.
À la place, on retrouve une majorité de rédacteurs en galère, payés au lance-pierre sur des plateformes bas de gamme.
Pourquoi ? Parce que rien n’est fait pour garantir un véritable avenir professionnel.
Un flou bien entretenu sur les débouchés
Dès le départ, les formateurs jouent sur l’ambiguïté :
✅ Ils ne promettent pas directement un emploi, mais laissent entendre qu’il suffira “d’appliquer la méthode” pour réussir.
✅ Ils mettent en avant quelques rares élèves à succès pour faire croire que c’est accessible à tous.
✅ Ils insistent sur le fait que “les entreprises ont un besoin énorme de contenu” (sans dire que ce contenu est souvent payé une misère).
Du coup, beaucoup de nouveaux rédacteurs terminent sur Malt, 5euros.com, Textbroker ou Fiverr, où les clients veulent du contenu rapide et pas cher.
Un marché saturé… mais ça, on oublie de vous le dire
Ces formations vous vendent la rédaction web comme un eldorado, alors qu’en réalité :
❌ Des milliers de nouveaux rédacteurs postulent chaque année pour les mêmes missions.
❌ L’IA produit désormais des textes en quelques secondes, ce qui pousse les tarifs vers le bas.
❌ Les clients sérieux et bien payants sont rares et exigeants, et n’embauchent pas des juniors fraîchement formés avec des méthodes dépassées.
Mais ça, évidemment, ce n’est pas mentionné dans le programme.
Je l’ai vu de mes propres yeux. Il y a encore deux ans, je recevais 4 à 6 demandes de devis PAR SEMAINE via mon site web.
Aujourd’hui ? Une ou deux maximum, PAR MOIS !
Pourquoi ? Parce que le marché a été inondé de rédacteurs fraîchement formés par Lucie Rondelet et consorts.
👉 Des rédacteurs qui n’ont pas les compétences requises, qui cassent les prix et qui tirent tout le secteur vers le bas.
👉 Les clients croulent sous les candidatures… mais peinent à trouver des profils réellement qualifiés.
Une autonomie forcée : après la formation, c’est “débrouille-toi”
Une fois la formation terminée, aucun suivi digne de ce nom :
❌ Pas de réseau solide pour aider à décrocher des missions.
❌ Pas d’accompagnement personnalisé pour ajuster ses offres et ses tarifs.
❌ Juste quelques conseils génériques du type : “Inscrivez-vous sur des plateformes et envoyez des mails de prospection.”
Autant dire qu’après avoir claqué 2 000 €, vous êtes livré à vous-même… dans un marché où les places sont déjà très chères.
J’ai ma pote Marjorie qui a d’ailleurs écrit un super article, pour vous aider à vous créer un réseau :
👉 Comment se créer un réseau lorsqu’on se lance à son compte ?
La culpabilisation des élèves : si ça ne marche pas, c’est de votre faute
Quand les élèves se rendent compte que ça ne fonctionne pas, la réponse des formateurs est toujours la même :
👉 “Tu n’as pas assez appliqué la méthode.”
👉 “Tu n’es pas assez persévérant.”
👉 “Ceux qui réussissent sont ceux qui s’accrochent.”
Traduction ? Si vous n’arrivez pas à en vivre, c’est vous le problème, pas la formation.
Une formation rédacteur web qui n’ouvre aucune porte
Dans un vrai secteur structuré, une formation devrait :
✔ Donner des contacts, un réseau, des opportunités réelles.
✔ Former aux méthodes modernes qui permettent de percer.
✔ Assurer un suivi jusqu’à l’obtention des premières missions.
Ici, on vous vend juste un accès à des vidéos et un forum Discord… et on vous laisse galérer ensuite.
Moralité ? Une fois la CB débitée, vous n’êtes plus leur problème.
Le piège du marketing d’affiliation : pourquoi tant d’avis positifs bidons ?
Si vous tapez le nom de ces formations sur Google ou YouTube, vous allez tomber sur des tonnes d’avis positifs.
Des articles de blog, des vidéos, des témoignages dithyrambiques… Tout est fait pour vous convaincre que c’est l’investissement du siècle.
Mais ne vous y trompez pas : derrière cette avalanche de recommandations se cache un énorme business d’affiliation.
Des influenceurs et blogueurs payés pour vous convaincre
Le principe est simple :
👉 Un formateur met en place un programme d’affiliation.
👉 Il propose à des influenceurs, blogueurs et anciens élèves de toucher une commission (souvent 10 à 30 % du prix de la formation) pour chaque nouvel inscrit.
👉 Résultat ? Des dizaines de contenus surgissent sur le web, tous ultra-positifs, tous avec un lien caché pour toucher la commission.
Pourquoi c’est un problème ?
❌ Ces avis ne sont pas sincères : ils sont motivés par l’argent, pas par l’efficacité de la formation.
❌ On vous cache la face B : aucun affilié ne va vous dire que la formation est dépassée ou inefficace, car il perdrait son gain.
❌ Les critiques négatives sont étouffées : essayez de poster un avis négatif sous une vidéo YouTube affiliée… il y a de fortes chances qu’il disparaisse.
Des articles et vidéos truqués
Sur Google, vous trouverez des articles du type “Mon avis 100% honnête sur la formation X”.
Tout semble objectif… jusqu’à la fin, où l’auteur glisse un joli lien d’affiliation pour s’assurer que vous achetiez via lui.
Sur YouTube, c’est la même chose :
❌ Miniatures racoleuses : “Formation X : est-ce vraiment rentable ?”
❌ Un faux doute au début : “Au départ, j’étais sceptique…”
❌ Une conclusion toujours positive : “Mais finalement, c’est la meilleure décision de ma vie.”
Tout ça, pour vous pousser à cliquer et à vous inscrire… histoire qu’ils touchent leur petit billet.
Ce que vaut réellement un « certificat de rédacteur web »
Après plusieurs semaines de formation et quelques exercices corrigés, félicitations !
Vous recevez votre précieux “certificat de rédacteur web”, prêt à être encadré… et totalement inutile sur le marché du travail.
Car soyons clairs : ce bout de papier ne vaut strictement rien.
Un faux label pour justifier le prix
Les formations aiment jouer sur l’effet “diplôme” pour donner de la crédibilité à leur programme :
✅ Un logo officiel, un PDF bien designé… et hop, on vous fait croire que vous avez décroché un titre reconnu.
✅ Certains parlent même de “certification”, histoire d’ajouter une couche d’importance artificielle.
✅ D’autres osent comparer ça à une formation qualifiante… alors que ça n’a aucune valeur sur le marché.
LA VÉRITÉ ?
IL N’EXISTE AUCUNE CERTIFICATION OFFICIELLE EN RÉDACTION WEB EN FRANCE.
❌ Pas de diplôme d’État.
❌ Pas de label reconnu par les entreprises.
❌ Juste un document fabriqué de toutes pièces pour justifier le prix exorbitant de la formation.
Les clients s’en foutent complètement
Si vous postulez auprès d’une entreprise ou d’un client sérieux, il ne vous demandera jamais :
👉 “Avez-vous un certificat de rédacteur web ?”
👉 “Avez-vous suivi la formation de Machin ou Bidule ?”
Pourquoi ?
❌ Parce que ce n’est pas un gage de compétence.
❌ Parce que les recruteurs et clients ne connaissent même pas ces formations.
❌ Parce que ce qui compte, c’est votre portfolio, votre plume et votre capacité à répondre aux besoins de l’entreprise.
Un bon rédacteur prouve sa valeur avec :
✔ Des textes percutants qui montrent son style et sa capacité à capter l’attention.
✔ Des exemples concrets de travail (articles bien référencés, pages de vente efficaces).
✔ Des résultats tangibles (augmentation du trafic, meilleure conversion, engagement).
👉 À lire également : Le guide ULTIME pour tout comprendre au métier de rédacteur web (et sans langue de bois)
Un certificat pour impressionner… les autres élèves
Le seul endroit où ce certificat a de la valeur ?
Sur le groupe privé de la formation, où les nouveaux élèves rêvent d’atteindre le même “niveau” que vous.
Mais dans la vraie vie, il ne vous ouvrira aucune porte.
Pire encore : si vous mentionnez votre certification dans une candidature sérieuse, un recruteur avisé risque de voir directement que vous venez d’une formation bidon… et de vous mettre dans la pile des juniors sans expérience.
Un diplôme en carton, une illusion de réussite
Ces formations veulent vous faire croire qu’en sortant diplômé, vous aurez une légitimité sur le marché.
En vrai, ce certificat ne vous apportera aucun client et aucun job.
Ce qui fera de vous un vrai rédacteur web, c’est votre capacité à écrire, à comprendre les besoins des clients et à vendre vos services intelligemment.
Si une formation met en avant son “certificat” comme un argument de vente, vous pouvez être sûr qu’elle mise sur du vent.
Arrêtez de payer pour du vent, formez-vous intelligemment
Les formations en rédaction web ont construit un business ultra-rentable en vendant du rêve à ceux qui cherchent une reconversion rapide et lucrative.
Elles vous promettent un métier d’avenir, un marché en pleine expansion, des techniques infaillibles…
Mais au final, elles vous laissent avec des méthodes obsolètes, un certificat sans valeur et un marché saturé où vous devrez vous battre pour des miettes.
Ce n’est pas un hasard si leurs créateurs ne sont plus rédacteurs web depuis longtemps.
Leur vraie source de revenus ? Vendre des formations hors de prix à des débutants qui ne savent pas encore qu’ils se font arnaquer.
Alors, si vous envisagez de vous former, posez-vous la bonne question :
Vous voulez apprendre la rédaction web avec un formateur qui ne rédige plus depuis des années… ou avec un professionnel qui vit encore de son métier ?
La formation de Lucie Rondelet à 2 500 €.
❌ Oubliez-la
Je vous ai fait EXACTEMENT la même… mais en mieux.
Pourquoi ?
✔ Parce que je suis un VRAI rédacteur web SEO.
✔ Je ne passe pas mon temps à vendre des formations, je passe mon temps à rédiger, optimiser, convertir.
✔ Je travaille encore dans ce domaine, et j’ai vu de mes propres yeux comment le marché a changé ces dernières années.
Alors, au lieu de vous vendre des méthodes dépassées et des promesses irréalistes, je vais vous former à la réalité :
✅ Un SEO qui fonctionne en 2025, pas en 2015
✅ L’utilisation intelligente de l’IA pour être plus efficace
✅ Du copywriting et du content marketing, parce que la rédaction web ne se limite pas aux blogs
✅ Une vraie stratégie pour trouver des clients sans passer par les plateformes qui paient une misère
Le tout sans vous ruiner, parce que je ne suis pas là pour vous plumer, mais pour vous donner les vraies armes pour réussir.
0 commentaires