C’est gratuit !
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Vous voulez apprendre le copywriting ? C’est une belle ambition, mais autant vous prévenir : ça ne se fera pas en claquant des doigts. Les mots, ici, ne sont pas que des mots. Ce sont vos armes pour convaincre, vos outils pour vendre, et la base de votre crédibilité....
Être concepteur-rédacteur, ce n’est pas juste écrire des phrases sympa pour vendre. C’est donner une voix à une marque, traduire ses valeurs en mots qui marquent. Rien n’est laissé au hasard. En copywriting, chaque mot compte. Mon rôle ? Aller chercher le mot juste,...
Vous voulez vraiment savoir pourquoi le métier de copywriter et celui de rédacteur web, c’est pas la même chose ? Eh bien, accrochez-vous, parce que je vais vous l'expliquer sans fioritures. Il y a deux métiers ici. Deux visions. Deux objectifs, et ce n’est pas du...
Par Alexandre Montenon
Rédacteur
Avant de t’expliquer comment BIEN choisir une formation copywriting, je te propose de me présenter. Je suis Alexandre Montenon, et j’ai lancé mon activité de copywriter freelance en 2011.
Et en 2011 crois-moi, nous n’étions pas beaucoup sur le marché. Peut-être 3 ou 4, dont une toute petite plateforme de rédaction web (Redactiweb). Bref.
Depuis ce jour, je n’ai cessé d’accroitre mes compétences dans tout ce qui touche au marketing digital :
Si ce sont des termes qui ne te parlent pas, ne t’inquiète pas : tu vas tout comprendre en lisant mon article.
Revenons maintenant à nos moutons.
Ce que j’ai envie de t’apprendre ici, c’est comment faire pour pratiquer le même métier que moi en 2024. Je vais donc te dévoiler un tas de choses que tu savais peut-être déjà, et d’autres que tu ne soupçonnais même pas.
Alors, prêt.e à prendre un nouveau départ dans le copywriting ?
Bon déjà, on va commencer par la base : un copywriter, c’est quoi exactement ?
Un copywriter, c’est d’abord un pro de la langue française. Il doit savoir accrocher le lecteur dès les premières lignes et crois-moi, c’est jamais une tâche facile.
Et ce n’est pas tout !
On doit aussi avoir une bonne dose de culture générale parce qu’on écrit sur tout et n’importe quoi. Un jour, tu parles de mode, et le lendemain, tu expliques comment installer un logiciel de compta.
Et puis, il y a le SEO (perso, j’adore le SEO).
C’est tout un ensemble de techniques qui vont permettre à ton contenu d’être visible dans les résultats de moteurs de recherche. En général, on pense tout de suite à Google.
Tu devras aussi apprendre à intégrer un texte dans un CMS ou connaitre les bases du HTML/CSS. Oui, ça fait aussi partie du job.
Ensuite, il y a le marketing de contenu.
Parce que ce qu’on écrit, c’est fait pour vendre, directement ou indirectement. Donc, oui, être copywriter, c’est aussi être à l’aise avec le copywriting, l’écriture créative pour le web et la stratégie éditoriale.
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PS : J’ai créé une formation pour devenir copywriter .
👉 Clique ici pour découvrir ma formation copywriting
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👉 Pour en savoir plus : Les missions du copywriter
Et ci-dessous, on avait fait une vidéo avec Matthieu, pour t’expliquer comment devenir rédacteur web ou copywriter :
Je vais être tout de suite clair avec toi : être copywriter, c’est pas juste écrire des textes tranquillou dans son coin. On a un tas d’autres missions à côté.
Déjà, je vais te donner un chiffre : 29,2%.
C’est le temps que l’on passe à chercher des clients. Et même si en vrai, le bouche-à-oreille, ça marche encore du tonnerre, tu ne pourras pas que miser dessus pour trouver des nouveaux prospects.
Moi par exemple, je fais plutôt partie des 24% d’entre nous qui misent à fond sur leur site web pour attirer le chaland. Et ça marche. Ça fait 13 ans que les clients viennent à moi, sans avoir à aller les chercher.
Et une fois que tu as des clients, qu’est-ce qu’on fait ? La plupart du temps, 77% des commandes que tu auras, ce sera pour des articles de blog.
Et là, faut du savoir-faire !
Bah oui, il s’agit pas seulement d’écrire un truc sympa à lire. Non, faut que ça plaise aussi aux robots de Google.
Alors, on se creuse la tête pour trouver le bon mot-clé, la bonne tournure, pour que notre article pop en première page.
Et crois-moi, chaque article, on le peaufine, on le bichonne, on le retouche jusqu’à ce qu’il soit juste parfait. Parce qu’on veut que le client soit content, mais aussi que le lecteur trouve son compte.
Donc en gros, en tant que copywriter, voilà le genre de chose que tu auras à faire au quotidien :
Oui, tu n’auras pas une minute à toi, mais c’est ça qui est génial !
Si les clients font appel à nos services en tant que copywriter freelance, c’est pour rédiger du contenu. Ça, tu l’auras compris.
Mais pas n’importe quel contenu !
Il faut que ton contenu soit captivant, et pour ça, il doit répondre à une tonne de critères.
D’abord, il doit être utile. Et crois-moi, Google ne te lâchera pas avec ça.
Les internautes viennent sur le web pour trouver des réponses. Si ton article ne sert à rien, oublie les visites. Et puis du coup, oublie ta visibilité sur Google par la même occasion.
Après, il faut aussi savoir captiver l’attention.
Avec la quantité de contenu disponible en ligne, si tu n’accroches pas ton lecteur dans les premières secondes, c’est fini. Moi par exemple, si mon contenu n’est pas intéressant, tu vas aller voir du côté de Lucie Rondelet ou de LiveMentor (et quand tu vas lire la suite de mon article, tu comprendras pourquoi je ne suis pas fan du format de formation qu’ils proposent tous les deux).
Mais si tu es encore là, c’est que tu n’es pas encore parti.e cliquer ailleurs.
C’est pour ça qu’on travaille nos intros et nos plans, pour que personne ne résiste à lire la suite. Ça s’appelle la pyramide inversée, et tu verras ça dans une bonne formation copywriting.
J’en ai parlé juste au-dessus, mais tu as le SEO aussi. C’est savoir mettre en place les différentes stratégies éditoriales qui vont faire monter un site web dans les résultats de recherche :
Ne prends pas peur : tout ça, tu le verras en choisissant ma formation copywriting.
Au final, créer un contenu web qui déchire, c’est mélanger technique, créativité et psychologie pour produire quelque chose d’unique.
👉 Pour en savoir plus : Les qualifications requises pour devenir copywriter web
Ce que j’ai toujours adoré dans mon métier de copywriter web SEO, c’est qu’on a besoin de grand-chose pour se lancer.
Un PC ou un Mac, un logiciel de traitement de texte (que ce soit Word, Google Docs ou un éditeur plus spécifique), une connexion Internet et hop, tu peux créer ta boite en un clin d’œil.
Ensuite, pour le SEO et la planification de contenu, j’utilise les outils suivants :
Et tout ça, ça t’aidera à peaufiner ta stratégie.
Et puis, il y a les CMS comme WordPress ou Prestashop. Si tu veux publier ton contenu toi-même, mieux vaut savoir comment ça marche.
Alors, vaut-il mieux être freelance ou salarié quand on est copywriter ?
Eh bien, ça dépend de ce que tu recherches.
Pour moi, les intérêts de devenir copywriter, c’était surtout : flexibilité et liberté. Ce que tu n’auras pas en tant que salarié.
Bon après, en tant que salarié, tu auras un salaire fixe qui t’évitera de passer certaines nuits blanches à réfléchir comment boucler tes fins de mois et ne pas mettre ta famille sous un pont (je te rassure, en 13 ans, je n’ai jamais dormi sous un pont).
Comme salarié, tu peux t’attendre à démarrer autour de 1 500 € brut par mois.
En freelance, par contre, tes revenus dépendent de tout un tas de critères :
Certains mois, tu peux te faire un paquet, et d’autres, c’est la diète. Mais choisir tes clients, tes projets, et surtout, travailler en pyjama, ça n’a pas de prix.
Bien sûr, être freelance, c’est pas juste la belle vie. Il faut gérer ton business, courir après les clients, et parfois faire face à l’incertitude. Mais si tu aimes la rédaction et l’indépendance, ça peut vraiment être ton truc.
En gros, que tu choisisses d’être freelance ou salarié, être copywriter, c’est un métier passionnant. C’est juste une question de ce qui te convient le mieux.
Et si tu veux te lancer en freelance, je t’explique ci-dessous les erreurs les plus courantes à éviter pour se lancer en freelance :
Avec toute cette histoire d’IA et de robots qui écrivent des textes, on a souvent tendance à se dire que le métier de copywriter est en voie de disparition.
Tu veux la réponse courte, j’imagine ? Pas du tout.
Oui, l’IA peut nous aider à être plus efficaces, à générer des idées ou même à corriger nos fautes d’orthographe.
Mais remplacer la touche humaine, l’émotion, et la capacité à raconter des histoires ? Pas encore.
Perso, elle m’aide beaucoup, car mon bon vieux ChatGPT (que j’ai appelé Roger), se tape tout le travail répétitif et chronophage. Et moi, ça me libère un temps fou pour me consacrer à des missions plus lucratives.
Depuis que j’ai commencé en 2011, on en a vu passer, des soit-disantes révolutions qui allait tuer notre métier :
Et maintenant, ChatGPT.
Depuis son apparition, tout le monde me dit « mais tu dois flipper ». Et en vrai, pas du tout. J’ai toujours autant de demande.
1. Les algorithmes de Google aime le contenu à forte valeur ajoutée. Et par conséquent, ils pénalisent les sites qui publient du contenu en masse de faible qualité. Les copywriters humains eux, sont capables de produire un contenu unique et de qualité qui respecte ces critères. Contrairement aux textes générés par IA qui peuvent être perçus comme répétitifs ou de moindre qualité.
2. Google a développé des méthodes pour distinguer le contenu généré par l’IA de celui écrit par des humains. Et crois-moi, si même moi je peux reconnaitre un texte généré par ChatGPT, Google peut le faire aussi.
3. Le contenu de qualité selon Google repose sur l’expertise, l’autorité et la fiabilité (son fameux E-E-A-T, pour Experience, Expertise, Authoritativeness, Trustworthiness). Et ça, c’est galère à atteindre pour le contenu généré par IA.
4. ChatGPT est nul en SEO. Demande-lui une balise TITLE, il va te rédiger un truc qui, tu peux en être sûr, ne va jamais t’aider à être plus visible sur Google.
5. Pour pouvoir faire des textes de haute qualité avec ChatGPT, il faut savoir faire des prompts de haute qualité (un prompt, c’est le brief que tu donnes à l’IA). Et ça, ce n’est pas permis à tout le monde !
Pour ton info, Google a annoncé deux changements majeurs pour réduire les résultats de recherche de faible qualité :
Et d’après leurs premières évaluations, ils s’attendent à ce que ça réduise de 40% le contenu de faible qualité et non original dans les résultats de recherche.
Moi ça me fait bien plaisir de lire ce genre de chose : ça va enfin sanctionner ceux qui ne la jouent pas franc-jeu.
Et puis surtout, quand plein de sites web se seront cassés la figure parce qu’ils ont utilisé ChatGPT à la place de vrais copywriters, eh bien ils vont sûrement revenir vers nous la queue entre les jambes (comme on dit).
Neil Patel a fait sa petite enquête : la majorité des marketeurs utilisent l’IA pour générer du contenu, et tu peux voir ça dans le graphique ci-dessous.
Donc en gros, sur 1051 contenus analysés, on se rend compte que seulement 129 d’entre eux ont été rédigés intégralement par des humains. Et ça crois-moi, ça va faire mal quand Google va mettre son algorithme à jour !
Clairement ? Oui !
Déjà parce que c’est le top pour apprendre à ton rythme. Pas besoin de te presser pour arriver à un cours à 8h du mat’. Tu peux apprendre tranquille chez toi, café à la main, quand ça te chante.
Et ça, pour moi, c’est la liberté.
Mais, parce qui oui, il y a toujours un mais, ça demande une sacrée dose de discipline.
Personne ne va venir te rappeler de finir ce module ou de travailler sur ton exercice. C’est toi et toi seul qui doit te motiver.
C’est pour ça qu’il te faut aussi un mentor, avec ta formation copywriting.
Et ça tombe bien, je te propose moi-même une formation copywriting avec mentorat. C’est un véritable tremplin pour ta future carrière !
Si tu ajoute à tout ça un peu d’organisation et beaucoup de volonté, tu verras, tu peux aller loin. Très loin.
Alors oui, tu peux acheter une formation rédaction web éligible CPF. Mais personnellement, j’ai décidé de totalement me désolidariser de ces formations-là.
C’est un puits sans fond qui déborde de formations bullshits. Parce que les formateurs se disent « ce ne sont pas les élèves qui paient avec leurs propres sous, on n’est donc pas obligés de faire un truc quali« .
Ensuite, une formation éligible CPF, ça ne te permet pas de proposer une formation qui te ressemble, mais qui ressemble à ce que les vieux dinosaures de l’administration française veut qu’elle soit.
Ce qui fait que tu te retrouves à créer une formation copywriting qui remplit un cahier des charges avec des concepts obsolètes et ça, je n’en veux pas.
Je veux pouvoir proposer une formation qui répond aux véritables attentes du marché, aux véritables contraintes que tu vas rencontrer.
Un truc tout bête, mais si ma formation copywriting était éligible CPF, je ne pourrais même pas y intégrer les 5 modules sur l’entrepreneuriat, qui te permettent de :
Parce que non, le cahier des charges ne les mentionne pas et donc, je n’ai pas le droit de les intégrer dans ma formation.
Mais même sans aide, je te dirais que c’est un investissement qui vaut le coup. Les compétences que tu vas acquérir, la confiance en toi qui va augmenter, et les opportunités qui vont s’ouvrir…
Alors, oui, ça peut faire peur à ton porte-monnaie, mais quand tu verras les résultats, tu te diras que chaque centime valait la peine.
Dis-toi juste une chose :
Ce n’est pas une dépense, c’est un investissement.
Je le crie haut et fort : une formation copywriting n’a pas besoin de durer 6 mois.
Pour moi, ceux qui font ça, c’est pour légitimer le fait que leur formation coûte cher (d’ailleurs, souvent TROP cher pour ce que tu auras à l’intérieur). Mais bon, on te vend un truc sur 6 mois pour plus de 2500 euros et donc forcément, tu te dis que c’est rentable.
Moi aussi, je peux la faire sur 6 mois, en débloquant un pauvre module une fois par semaine.
Mais non.
J’ai choisi de créer une formation qui dure 2 mois. Une formation copywriting donc, qui au bout de 2 mois, te permet ENFIN de te lancer en tant que copywriter freelance.
Et surtout, ça te laisse assez de temps pour digérer les infos, pratiquer, et même continuer à bosser à côté. Cerise sur le gâteau : ma formation copywriting est accessible à vie.
Tu progresses donc à ton rythme, sans stress, et tu peux toujours revenir sur des modules plus tard, pour te rafraîchir la mémoire ou te mettre à jour sur les dernières tendances.
Le conseil que je te donnerais, c’est de réfléchir à ce que tu veux vraiment.
Si tu choisis une formation longue durée, c’est peut-être simplement parce que tu as peur de te lancer et que tu repousses l’échéance. Arrête tout de suite, et passe à l’action.
Car pendant ce temps là, tu vas avoir d’autres copywriters qui vont se lancer, et qui vont se faire une place confortable sur le marché.
Attendre, c’est reculer.
Une formation en rédaction web, pour être top, ce n’est pas juste apprendre à écrire pour le web. Ça, c’est le minimum syndical.
Non, une bonne formation copywriting doit t’apprendre tout un tas de choses :
Ma formation t’offre tout ça, et plus encore. Chaque module était comme une pièce d’un puzzle géant. À la fin, non seulement tu sauras écrire, mais une plus grande vision d’ensemble, tu sauras ce que c’est que d’être un entrepreneur dans la rédaction web.
C’est ce genre de formation riche et diversifiée que je veux t’apporter.
C’est ce qui te rendra indispensable aux yeux de tes clients.
L’encadrement pédagogique, c’est ce qui peut faire passer une formation copywriting de « pas mal » à « incroyable ».
Tu sais, ces moments où tu bloques sur un concept, où tu tournes en rond, où t’as pas compris un terme un peu trop technique ?
Avoir un mentor pour te guider, te conseiller, ça change tout.
Dans ma formation copywriting, tu auras accès à des corrections détaillées pour chaque exercice. Mieux, tu pourras me poser directement tes questions, par mail, WhatsApp ou téléphone.
À chaque fois que tu doutes ou que tu te trompes, tu m’auras rien qu’à toi pour te remettre sur le droit chemin, te montrer où et comment t’améliorer.
Alors, quand tu choisis ta formation, regarde bien ce qu’elle propose en termes d’encadrement pédagogique. Ça peut vraiment transformer ton expérience d’apprentissage.
Est-ce qu’on va te mettre un tuteur donc tu n’as jamais entendu parler ?
Est-ce que les exercices correspondent réellement à ce que tu feras en tant que copywriter ?
Petit coup de gueule 😡
Je connais une formation rédaction web (parmi les deux que j’ai citées au tout début de l’article) qui te donne comme exercice une fiche produit à rédiger de 200 caractères. 200 caractères, steuplé. Ça me met en colère, ce genre de bouffonnerie. Un site e-commerce te demande en moyenne des fiches produits de 300 mots. Et c’est pas avec ce genre de formation que tu apprendras la réalité du terrain.
Soyons honnête, et sans langue de bois : le web, c’est un fouillis de formations en rédaction web qui promettent monts et merveilles.
Méfie-toi de ces promesses trop alléchantes.
Fais tes recherches, compare les programmes, et surtout, regarde ce que les anciens élèves disent de leur expérience.
Et n’achète pas une formation pour la notoriété du formateur. Le fond n’est pas toujours à la hauteur.
Je pense à une formation en particulier (toujours parmi les deux cités plus haut), qui te vend le programme de telle formatrice et au final, tu n’es jamais en contact avec elle. Une véritable aberration.
En gros, choisis toujours une formation dispensée par le véritable formateur. Sinon, c’est que tu l’achètes à une usine à formations et crois-moi, ce n’est pas la meilleure chose à faire !
J’entends souvent autour de moi : « je suis bon en orthographe et en grammaire, je vais me lancer à mon compte dans la rédaction web« .
Et c’est là où beaucoup se trompent.
Ce n’est pas parce que je sais faire du pain au levain dans ma cuisine, que je vais monter ma propre boulangerie.
La rédaction web, surtout SEO, demande bien plus de compétences qu’une simple plume.
Oui oui, c’est déjà un bon point de savoir écrire.
Mais est-ce que ça suffit ?
Non.
Clairement, non.
Alors, quels sont les points sur lesquels tu as besoin de te former pour devenir copywriter ?
On dit souvent que rédiger pour le web, c’est créer du contenu pour le rendre visible dans les moteurs de recherche.
Et par moteur de recherche, soyons clairs : on parle de Google, hein !
Rédiger ne suffit donc pas pour être copywriter.
Il faut comprendre l’algorithme de Google et savoir adapter le contenu aux critères de ses robots (qu’on appelle des crawlers).
Et il y a tout un tas de choses à savoir :
La liste est longue !
Quand un client va te contacter pour créer du contenu, il aura concrètement deux objectifs :
Et c’est quoi le taux de conversion ?
C’est le pourcentage de visiteurs que tu arrives à transformer en acheteurs.
Par exemple, si tu as 10 visiteurs sur ton site web, et que tu en as 3 qui achètent un produit sur ta boutique, tu auras un taux de conversion de 30%.
Et c’est donc là que le copywriting intervient.
Avec des techniques de rédaction persuasive, comme les 4 « U », les 5 objections universelles, ou encore les méthodes PAS, PASTOR et AIDA.
Ces techniques de rédaction persuasive vont permettre de motiver le lecteur dans son acte d’achat, ou pour tout autre objectif :
Imagine ton client qui t’appelle, et qui te dit :
« Je ne comprends pas, j’ai fait une redirection 301 vers une page profonde, j’ai fait pointer des backlinks vers elle et pourtant, elle n’apparait toujours pas dans les SERP.«
Tu piges que dalle ?
D’où l’intérêt de te former en référencement naturel.
Pour comprendre le langage de ton client et savoir répondre à ses problématiques.
C’est la dernière formation dont tu auras besoin.
C’est celle qui va te permettre de devenir une perle rare aux yeux de ton client.
C’est celle qui va te permettre de devenir force de proposition.
C’est celle qui va te différencier des autres copywriters.
Car quand ton client va t’appeler et te dire « Salut Marco, j’aimerais bien te confier la rédaction de 4 articles de blog par mois, mais j’ai zéro idées pour les sujets« , tu vas lui répondre quoi ?
De te rappeler quand il aura trouvé des idées ?
Non.
Tu lui diras plutôt :
« Pas de soucis Jean-Paul, je peux te les trouver moi, ces idées de contenus.«
« Et je vais même faire mieux, je vais te trouver des idées de contenus pour les 3 prochaines années ».
Ça te semble irréalisable ?
Et pourtant, c’est totalement faisable.
En te formant sur la stratégie de contenu, tu sauras créer une carte mentale, trouver des idées de contenus et élaborer un calendrier éditorial.
Alors, qu’est-ce que tu répondras désormais, à quelqu’un qui te dira : « je suis bon en orthographe et en grammaire, je vais me lancer à mon compte dans la rédaction web » ?
On est d’accord.
👉 Pour en savoir plus : Les compétences pour devenir copywriter
Comme beaucoup de monde, tu as déjà entendu parler du syndrome de l’imposteur ?
Tu sais, cette impression de ne pas être fait.e pour un job alors qu’il te plait beaucoup.
Moi aussi, je l’ai ressentie.
Et je la ressens encore parfois.
Surtout face à une grande bouche, qui veut toujours me faire croire qu’il est meilleur que moi en sortant des mots techniques en anglais.
Alors du coup, tu te dis que tu ne peux pas bosser dans la rédaction web parce que tu n’as pas de diplôme dans ce domaine.
Et que tu n’est donc pas légitime à exercer ce métier.
Que nenni !
Laisse-moi te dire un truc :
Ça fait 13 ans que je bosse dans la rédaction SEO et je n’ai pas le moindre diplôme. Juste un bac+3 dans le marketing. Et ce n’est pas là que j’ai appris tout ce que je sais aujourd’hui.
Je suis 100% autodidacte.
Donc oui, tu peux être copywriter SANS DIPLÔME. Après, sache qu’il existe des diplômes dans ce domaine.
Tu peux suivre les cursus suivants :
Mais est-ce que ça va vraiment te servir à apprendre la vie de freelance ?
Est-ce que ça va vraiment te servir à te différencier de la concurrence ?
Est-ce que ça va vraiment te servir à trouver des clients ?
Non.
Ce dont tu as besoin pour te lancer, c’est avant tout des pré-requis en qualités personnelles :
Donc si tu sais écrire, que tu es à l’aise au niveau relationnel et que tu as de la suite dans les idées, forme-toi de ton côté !
Les formations ne manquent pas pour apprendre la rédaction web et le monde du freelancing.
Et d’ailleurs, est-ce qu’un client te demandera ton diplôme en rédaction web ?
Non plus.
On ne me l’a jamais demandé en 12 ans.
Toi, tu demandes le diplôme de ton coiffeur quand tu vas te faire couper les cheveux ?
Voilà, tout est dit.
Alors, ça te motive un peu plus à devenir copywriter même si tu n’as pas de diplôme ?
Tu te demandes quel statut choisir pour devenir copywriter freelance ?
Je te comprends : des statuts, il y en a des dizaines.
Mais on va réduire ce choix à un seul, largement suffisant pour te lancer seul à son compte.
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PS : Tu peux aussi t’inscrire à ma formation pour devenir copywriter
👉 Clique ici pour découvrir ma formation copywriting
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C’est un régime purement destiné à ceux qui veulent se lancer comme indépendants. Par contre, il y a un certain seuil de chiffre d’affaires à ne pas dépasser :
▶ Tu peux créer ton statut en deux temps, trois mouvements.
Un simple formulaire « P0 Micro-Entrepreneur » à remplir, et quelques pièces justificatives (qui dépendent de ton type d’activité) au CFE dont tu dépends.
Tu obtiendras ensuite ton numéro de SIRET 1 à 4 semaines plus tard.
▶ Tu vas te simplifier la vie au niveau administratif (ta déclaration se fait en ligne en 2-3 clics seulement)
▶ Tu peux cumuler le statut avec un autre. Comme démarrer ton activité de copywriter en étant encore salarié.
▶ Tu n’es pas redevable de la TVA si tu ne dépasses pas un certain seuil de chiffre d’affaires :
▶ Tu as des charges sociales particulièrement avantageuses
Bon, ce mail n’était pas la révélation du siècle : on sait tous que le statut de micro-entrepreneur est avantageux de ouf.
Mais tu as aussi tout plein d’autres statuts pour devenir freelance :
Tu ne sais plus quoi prendre comme statut ?
Ne te prend pas la tête : le statut d’auto-entrepreneur est PARFAIT pour démarrer.
Tu auras tout le temps et le loisir de changer de statut quand tu atteindras 100k de CA par an 😎
Demain, je te parlerai du métier de copywriter un peu plus en profondeur.
Parce que oui, le domaine de la rédaction est vaste, et tu peux faire tout plein d’autres choses que copywriter !
👉 Pour en savoir plus : Quel statut choisir pour devenir copywriter ?
J’ai une question pour toi : est-ce que tu sais vraiment ce que fait un copywriter ? Est-ce que tu connais tous les métiers de la rédaction web ? Est-ce que tu sais ce que rédige exactement un copywriter ?
Oui, il y a tout un tas de questions autour du métier de copywriter.
Maintenant, faisons un point sur tous les métiers de la rédaction web. Bah oui, parce qu’il n’y a pas que copywriter dans la vie.
▶ Content manager (mon taf à moi)
Sa mission : intéresser l’utilisateur grâce à un contenu adapté et de qualité pour transformer l’audience en clients ou en prospects.
▶ Digital Storyteller
Sa mission : raconter des histoires sous de multiples formats (contenus écrits, audio ou vidéo)
▶ Correcteur-relecteur
Sa mission (ça me semble plutôt clair) : corriger l’orthographe, la grammaire, la syntaxe et la typographie des contenus existants.
▶ Traducteur
Sa mission : traduire des textes en langue étrangère vers sa langue maternelle, ici le français pour toi.
▶ Blogueur professionnel
Sa mission : vivre des ses contenus grâce à un blog spécialisé. Le rêve de tout à chacun !
Mais revenons maintenant à nos moutons : le métier de copywriter.
À ton avis, que rédige un copywriter ?
Tu as un tas de formats sur lesquels il peut intervenir :
À toi de te spécialiser dans un domaine pour tirer ton épingle du jeu et te différencier de la concurrence !
Alors, est-ce que tu as une idée un peu plus précise de ce que tu voudras faire quand tu seras plus grand.e ?
On y arrive enfin. À la question à 1000 balles que tout le monde me pose :
Combien facturer en tant que copywriter ?
Ce que je te conseille de faire : fixer ton prix au nombre de mots. C’est la tarification la plus courante que j’utilise. Et je l’adapte au cas par cas.
Plus le texte est long, plus je propose un tarif dégressif.
En général, le tarif pour un débutant est de 0,10€/mot. Mais tu peux avoisiner des tarifs bien plus élevés au fur et à mesure de ton expérience.
Il m’arrive de proposer des devis à 30 centimes le mot, comme à 10 centimes. Tout dépend de ce que ton client est prêt à payer.
D’ailleurs, j’ai rédigé un super article sur le SONCAS, soit les 6 leviers pour comprendre le besoin d’un prospect ou d’un client et réussir à lui vendre ta prestation.
Mais revenons à notre sujet : combien dois-tu faire payer ?
Tu as donc le prix au mot, mais tu as aussi :
▶ Le prix à l’heure
Imaginons qu’il te faut 90 minutes pour rédiger un article 600 mots.
Tu peux donc appliquer un prix à la prestation qui équivaut à ce nombre d’heures travaillées.
Si tu décides de ne pas toucher moins de 30 € / heure, le tarif de ton article de 600 mots sera donc de 60 €.
▶ Le prix à la journée
Parfois, un client peut te faire venir travailler à la journée directement sur place. Tu peux donc proposer un taux journalier qui équivaut à :
Ton taux horaire x 7 heures de travail
Par exemple : 30 euros/h x 7h = 210 euros HT/jour
Pratique pour ton profil Malt, où tu devras justement renseigner ton taux journalier moyen (TJM)
Est-ce que c’est un peu plus clair pour toi ?
👉 Pour en savoir plus : Combien facturer en tant que copywriter
J’imagine que ce qui te fait peur en te lançant à ton compte, c’est de ne pas réussir à trouver des clients ? C’est normal. Moi aussi, j’ai eu cette crainte.
Cette crainte de finir sous un pont parce que j’ai eu l’envie de me lancer à mon compte.
Eh oui, c’est n’est pas tout le monde qui a la chance de trouver un client régulier du premier coup.
Et tu n’as pas non plus envie de passer 2/3 de ton temps à prospecter, trouver enfin un client, bosser pour lui, finir la prestation, puis te lancer à nouveau dans la prospection pour trouver un nouveau client.
NON.
Tu dois faire venir les clients à toi sans aller les chercher. Et c’est ce que je vais t’expliquer ici.
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PS : Et sinon, tu as eu le temps de consulter le programme de ma formation copywriting ?
👉 Clique ici pour télécharger mon programme
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Alors, comment trouver des clients sans avoir à prospecter ?
Tu as en fait plusieurs manières de faire.
Mais celles que je préfère, ce sont les deux suivantes :
Minute, papillon : je développe ces 2 manières point par point. Et tu peux aussi regarder cette vidéo que j’ai faite avec Matthieu Verne :
Pour développer ta présence en ligne, tu peux créer un site internet ou un blog. C’est ce que l’on appelle l’organique : faire venir naturellement des prospects à toi.
Dans un article de Maddyness d’ailleurs, Yéza Lucas (une coach pour entrepreneur) expliquait que pour réussir sa vie de freelance, il fallait savoir attirer des clients sans avoir à démarcher.
Et ça passe par le référencement naturel !
Mais comment on fait ?
En créant un site web avec du contenu de qualité et des liens qui pointent vers lui (ce que l’on appelle des backlinks). De manière à ce que tes prospects te découvrent et deviennent des clients.
Le seul hic ? Développer son référencement naturel prend du temps. C’est pratique si tu n’es pas pressé de gagner de l’argent (si tu es salarié à côté, par exemple). Et surtout, il faut accepter de ne pas savoir QUAND tu vas décoller.
Parce que oui, l’algorithme de Google est chelou.
Mais tu n’es pas obligé de te concentrer sur le référencement naturel pour poster du contenu. Tu peux aussi faire du social media, ce que l’on appelle plus communément les réseaux sociaux.
Mais idem, ça n’ira pas très vite.
Si tu connais les règles du réseau social que tu cibles, tu vas pouvoir tirer ton épingle du jeu.
Et puis, tu peux aussi ne jamais décoller sans jamais savoir pourquoi.
C’est la dure loi du trafic organique.
Du coup, tu peux faire de la publicité en ligne, en attendant !
Tu as plusieurs canaux pour faire de la publicité. Par exemple, j’ai mon pote Matthieu Verne qui cible énormément Facebook Ads pour promouvoir sa formation en ligne.
Et ça marche fort pour lui.
Mais attention, ce n’est pas parce que tu vas payer pour une publicité que ça va marcher. Pour réussir ta publicité sur Facebook, tu as plusieurs étapes.
La partie technique :
La partie webmarketing :
Le tout est que ta publicité arrive à mettre en avant ta compétence profonde, rare et précieuse :
RARE : peu de gens la possèdent, car elle prend du temps et de l’effort à obtenir.
Exemple :
Je rédige des fiches produits optimisées pour le taux de conversion et le référencement naturel.
PRÉCIEUSE : elle aide tes clients à gagner de l’argent.
Exemple (suite) :
Mes clients constatent en moyenne une conversion client de +112%.
C’est ça qui va faire ta différence sur Facebook.
Alors, laquelle de ces deux techniques vas-tu essayer pour trouver des clients ?
👉 Pour en savoir plus : Trouver des clients en tant que copywriter freelance
Je t’ai donné plein de clés pour lancer ton activité de copywriter.
Et c’est quoi la suite, maintenant ?
Eh bien, il faut que tu te lances !
❌ Tu ne te sens toujours pas légitime de te lancer ?
❌ Tu as toujours peur de ne pas trouver de clients ?
✅ J’ai une solution.
Mais je te fais quand même un rapide résumé, histoire de te mettre en appétit pour la rentrée 😀
👉 Ma formation copywriting est répartie sur 10 modules :
En plus, j’utilise des exemples très simples pour que tu comprennes bien chaque étape de la formation.
Et tu auras 4 exercices ultra complets à réaliser, que je corrigerai personnellement.
Autant te dire qu’après cette formation copywriting, tu sauras tout ce qu’il faut savoir pour devenir copywriter (et te sentir légitime de le devenir), te lancer à ton compte et trouver des clients.
🖐️ Mieux, tu trouveras 5 bonus pour devenir un vrai entrepreneur à succès :
👉 Et 1 module ultra complet pour apprendre à t’organiser en tant que freelance et optimiser ta productivité avec Notion 😍
Comme tu pourras le voir, on est bien au-dessus d’une formation classique.
Tu vas apprendre bien plus que des compétences en rédaction web : tu vas véritablement apprendre à devenir un.e entrepreneur.euse dans la rédaction web et réussir ton activité !
👉 Tu peux d’ailleurs télécharger mon programme en cliquant ici
Mate un peu les avis que certains élèves ont publié sur Google :
Et si ça peut te rassurer, je suis aussi formateur en rédaction web dans la vraie vie, auprès de deux écoles : ISCOM Lyon 7 et Sup de Pub Lyon.
D’ailleurs, voici un avis de Marie, l’une de mes élèves de Sup de Pub :
Toujours pas convaincu.e ?
Voilà, tu as toutes les cartes en main.
À toi de voir ce que tu veux faire maintenant !
Forcément, on a toujours tout un tas de questions, quand on veut acheter une formation copywriting. J’ai regroupé ci-dessous les questions que l’on me pose le plus fréquemment à propos de « Devenir copywriter« .
Et si tu as d’autres questions, n’hésite pas à me les poser directement en commentaire !
Elle est faite pour toi si tu veux devenir copywriter, quelle que soit ta situation actuelle (salarié, au chômage, en reconversion). Tu vas pouvoir la suivre au rythme de que tu souhaites, sans contraintes, de jour comme de nuit 😉
Mais elle s’adresse aussi à toi si tu es DÉJÀ copywriter.
Car je te forme également sur toutes les techniques de webmarketing pour réussir ton business.
Oui, clairement.
Tu vas même pouvoir commencer à chercher des prospects grâce à mon module spécialement dédié à l’acquisition de nouveaux clients.
Et je te livre même une méthode que tu pourras appliquer tout de suite, et qui marche !
Tu n’as besoin d’aucun pré-requis technique.
La formation copywriting se fait en e-learning, sur la plateforme LearnyBox.
Et je m’engage à maintenir la formation à jour, pour pallier toutes les évolutions stratégiques et techniques.
Tout d’abord, pour mon expérience.
Parce que je vis de la rédaction web depuis 13 ans, et que c’est encore mon activité aujourd’hui. Ce que ne font plus la plupart des formateurs.
Et mon expérience est vraie. Je n’ai pas passé le plus clair de mon temps à rédiger pour des plateformes de rédaction (comme une célèbre formatrice en rédaction web) ou en tant que salarié.
J’ai une véritable vie d’entrepreneur dans la rédaction web et ça aussi, je vais te l’apprendre.
Mais aussi, dans la plupart des autres formations, tu vas apprendre des choses que tu peux lire gratuitement sur Internet.
Tu auras un semblant de stratégie pour trouver des clients, mais quelque chose de très générique.
Certains te diront même de carrément t’inscrire sur des plateformes de rédaction (toujours la même), ce que je déconseille fortement (franchement, qui a besoin de suivre une formation copywriting pour finalement se retrouver sur une plateforme).
Dans ma formation, je t’explique pas à pas mes méthodes à moi, celle que je pratique depuis 12 ans.
Pour la rédaction d’un article de blog par exemple, je te dis exactement QUOI mettre phrase par phrase. C’est une véritable méthodologie, un plan à suivre à la lettre.
Pas juste des conseils.
Et ce sera pareil pour la fiche produit, la page d’accueil, la page service, etc.
Ici, je te propose donc d’être parfaitement au point sur la partie technique liée à la rédaction web, mais je t’apprend aussi à vendre tes services :
👉 trouver ton positionnement commercial,
👉 savoir te différencier de la concurrence,
👉 être visible sur Internet,
👉 trouver des clients,
👉 répondre à des devis, et bien d’autres encore.
En moyenne, les élèves qui suivent la formation trouvent leur premier client en moins de deux mois.
Mais ça peut être plus, comme ça peut être beaucoup moins.
Katell par exemple, qui a suivi la formation en mars, a trouvé un client une semaine après.
Un mois plus tard, elle a déjà travaillé avec 3 clients différents et a généré 1200 euros de CA. Un super démarrage !
Tu peux. Et je suis sûr que tu as déjà essayé.
Mais entre nous, si c’était suffisant, est-ce que tu serais en train de lire ce mail ?
Un contenu gratuit ne rentrera jamais dans le détail comme le fait une formation avec un expert.
Tu auras toujours un sacré nombre de zones d’ombres.
Tu n’auras pas de mentor pour corriger tes exercices, pour t’aiguiller ou encore t’orienter dans la bonne direction.
Tu auras des conseils pour rédiger tes contenus, mais tu n’auras JAMAIS la méthodologie que je te propose, ligne par ligne.
Une méthodologie qui fait ses preuves depuis de nombreuses années auprès de tous mes clients.
Et surtout, je ne disparais pas une fois la formation terminée : je resterai ton mentor, et tu pourras me solliciter quand bon te semble.
Un doute sur un nouveau prospect ? Tu ne sais pas comment répondre à une demande de devis ? Combien facturer ?
Pas de soucis, je serai là.
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Vous voulez apprendre le copywriting ? C’est une belle ambition, mais autant vous prévenir : ça ne se fera pas en claquant des doigts. Les mots, ici, ne sont pas que des mots. Ce sont vos armes pour convaincre, vos outils pour vendre, et la base de votre crédibilité....
Être concepteur-rédacteur, ce n’est pas juste écrire des phrases sympa pour vendre. C’est donner une voix à une marque, traduire ses valeurs en mots qui marquent. Rien n’est laissé au hasard. En copywriting, chaque mot compte. Mon rôle ? Aller chercher le mot juste,...
Vous voulez vraiment savoir pourquoi le métier de copywriter et celui de rédacteur web, c’est pas la même chose ? Eh bien, accrochez-vous, parce que je vais vous l'expliquer sans fioritures. Il y a deux métiers ici. Deux visions. Deux objectifs, et ce n’est pas du...
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