Alexandre Montenon, formateur en rédaction web

J’ai même fait partie des premiers à me lancer, en 2010. À l’époque, nous ne devions être que 3 ou 4 sur le marché.

Je me suis formé en référencement naturel, auprès des plus grands (dont Laurent Bourrelly). Qu’est-ce que ça remonte à loin, tout ça !

Bref.

Tout ça pour dire que je ne tombe pas du ciel et que la rédaction web, c’est mon dada.

Mieux qu’un dada, c’est un domaine dans lequel j’excelle. Dans lequel j’ai obtenu de véritables succès, missions comme client.

J’ai même bossé pour des grosses boites : Wonderbox, Attractive World, Fly, Meccano, Gifi et j’en passe.

Allez, je t’explique mon parcours. Et peut-être que ça te donnera envie de me faire davantage confiance !

Je te raconte le jour où tout a commencé…

Comment ça, elle est connue ?

Oui, elle est très connue. Très capitaliste, toussa toussa.

Mon boulot consistait alors à promouvoir les produits du groupe dans les supermarchés.

À l’époque, j’avais déjà envisagé de me lancer à mon compte, mais je n’avais pas encore eu LE déclic.

Ce déclic, il est arrivé un beau jour de mars. Quand mon concurrent de chez Liebig (les soupes) voulait en venir aux mains avec moi sur un parking.

Un grand gaillard de 50 ans.

Et là, c’était le fameux déclic. Je suis rentré chez moi le soir, en me disant :

« Est-ce que j’ai vraiment envie d’être à la place de ce mec, à 50 ans, tellement frustré de ma vie pro que j’aurai envie de me battre avec un gamin de 25 ans sur le parking d’un Intermarché ? »

NON.

C’est le jour où tout à commencé.

La suite, c’est quoi ?

Je discute avec mon colocataire de l’époque, de ce qu’il m’était arrivé avec ce concurrent. Et des interrogations qui en ont découlé.

Ce colocataire, appelons-le Jérôme (puisque c’est son prénom), avait alors créé un site e-commerce dans les fers à lisser. Un site e-commerce qui marchait plutôt bien. Voire très bien, même.

Il me propose alors de rédiger pour lui certaines fiches produits, puisqu’il a besoin de rédiger des descriptions pour ses fers à lisser.

Rappelons qu’à l’époque, le métier de rédacteur web existait à peine.

Et là, ça a été la révélation. Je me suis éclaté dans cette mission.

Le reste, je te la fais courte.

Je décide de me lancer dans ce métier (qu’on appelait e-redacteur à l’époque), en parallèle de mon boulot de salarié chez Unilever.

Je crée mon site, je me référence rapidement (facile, quand tu es quasi tout seul) et là, bingo : un premier client au bout de 3 semaines seulement. Pour une mission à 790 euros.

Une semaine plus tard, un deuxième pour pratiquement le même montant. En deux semaines, j’avais déjà fait un SMIC.

En moins de 3 mois, je gagne autant que chez Unilever.

La décision était donc prise : j’allais devenir freelance.

Et depuis ces débuts ?

Ma vie a été ponctuée de hauts et de bas. Je me suis amusé, je me suis cassé la figure, j’ai remonté la pente, j’ai surfé sur le succès, j’ai re-dégringuolé, je suis revenu au top.

Bref, la vie d’un entrepreneur quoi.

Mais qu’est-ce que c’est kiffant !

Je te rassure : ma vie professionnelle est TRÈS stable depuis de nombreuses années.

Je suis même devenu formateur en rédaction web dans deux écoles de communication à Lyon : ISCOM et Sup de Pub.

J’ai développé mon activité au point d’en faire une agence, et je collabore sur plein d’autres projets lucratifs.

Aujourd’hui, j’aime ma vie comme elle est.

✔ Avec les incertitudes du freelance.
✔ Les pensées négatives la nuit.
✔ Les moments de bonheur quand tu trouves un nouveau client.
✔ Les rentrées d’argent que je n’aurais jamais pensé faire un jour.
✔ Le réseau que je me suis créé.

Bref, c’est une vie que je te souhaite à toi aussi.