by Alexandre Montenon

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Par Alexandre Montenon
Rédacteur

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Formation rédacteur web : 8 étapes pour devenir rédacteur web sans expérience ni diplôme

Temps de lecture : 34 minutes

Par Alexandre Montenon
Rédacteur

Est-ce que c’est vraiment possible de devenir rédacteur web sans diplôme, sans expérience préalable ni formation rédacteur web. Rien, nada. Juste comme ça, en claquant des doigts ?

Clairement, non.

Enfin, oui et non. Tu peux devenir rédacteur web, sans avoir de diplôme en poche ou d’expérience dans le domaine. Mais pas sans les bonnes techniques et des informations véritables.

Pour ma part, je me suis retrouvé un peu par hasard dans le monde du web. Autodidacte et touche à tout, je me suis lancé en freelance en 2011. Tant par curiosité que parce que l’opportunité se présentait.

Anaïs aussi, par exemple, était étudiante en droit à Lyon 3 (c’est une vraie anecdote !). Elle était lassée des cours, et elle a décidé de prendre une nouvelle orientation. Et devine quoi ? Elle m’a un jour appelé pour me demander de la prendre en stage.

Ce que j’ai fait. Et en seulement quelques mois, elle a réussi le pari de devenir rédactrice web (elle travaille encore avec moi d’ailleurs, et ça fait déjà 3 ans).

Et tu sais quoi ? D’après l’AFE (Agence France Entrepreneur), 25% des entrepreneurs en France sont autodidactes. Comme Anaïs, comme moi et comme beaucoup d’autres, tu peux toi aussi faire de la rédaction web ton futur métier.

Je te dévoile ici les étapes et les astuces pour devenir rédacteur web. Le tout puisé dans mon expérience de 12 ans d’expérience !

Avant d’aller plus loin…

Tu veux savoir si tu es fait pour devenir rédacteur web ? Testons tes connaissances, avant même de lire mon article !

1. Apprendre la rédaction web et le SEO

Quand j’ai débuté dans la rédaction web, je pensais que ce serait simple. J’étais plutôt à l’aise avec l’écriture et j’avais quelques notions en marketing.

Et aussi à l’époque, aucune formation rédacteur web n’existait !

Du coup, je me disais : « Ça va le faire, je peux me lancer en toute tranquillité. » Mais dès que j’ai publié mes premiers articles, les résultats SEO étaient inexistants. Google semblait complètement ignorer mon contenu.

Et là, j’ai compris un truc important : rédiger pour le web, ce n’est pas juste écrire.

C’est écrire de façon stratégique. Il faut optimiser le texte pour que Google le trouve et que les lecteurs aient envie de le lire (sinon ça ne sert à rien). Et tout ça, tu l’apprendras dans une formation rédacteur web !

Tiens, je te mets ci-dessous une super vidéo de Matthieu Verne et moi, où on t’explique comment devenir rédacteur web en 2024 :

Savoir rédiger pour le web, c’est maîtriser le SEO

Avant, il suffisait de bourrer son texte de mots-clés pour faire du bon SEO.

Ce temps est révolu. Aujourd’hui, c’est l’intention de recherche qui compte. Google ne veut plus juste voir “baskets blanches” partout. Il veut des réponses précises à des questions concrètes, comme : « Que porter comme pantalon avec des baskets blanches ?« .

Pour bien rédiger pour le web, il faut :

Connaitre son audience. Évite le jargon, les lecteurs préfèrent des réponses claires.

Utiliser les mots-clés avec parcimonie. En les plaçant trop souvent, ton texte devient illisible (et Google va vite le remarquer).

Optimiser chaque partie du contenu : titres, sous-titres, descriptions. Tout doit être clair pour Google et tes lecteurs.

Comment je suis devenu un pro du SEO sans formation rédacteur web ?

Franchement, je ne vais pas te mentir, j’ai appris ça sur le tas.

Au début, je pensais pouvoir dominer Google rapidement. Je bourrais mes textes de mots-clés comme “formation rédacteur web” dans toutes les phrases. Et du coup, Google m’a ghosté.

Mais à force de persévérer, tester, et ajuster, j’ai fini par comprendre les bases du SEO.

Pas besoin d’avoir un diplôme. J’ai appris en rédigeant des centaines d’articles pour des sites e-commerce. Chaque erreur m’a rapproché un peu plus de la maîtrise du sujet.

Les bases du SEO que tout rédacteur doit connaître

Si tu veux réussir en 2024, tu dois maîtriser quelques bases du SEO. Voici les points essentiels :

L’intention de recherche

Avant d’écrire, demande-toi ce que l’utilisateur veut vraiment savoir. Pourquoi il tape cette requête ? Si tu réponds vite et bien à sa question, tu es déjà bien parti.

La recherche de mots-clés

Utilise des outils comme Ubersuggest ou Ahrefs pour trouver les mots que les gens recherchent vraiment. Mais attention, ne te limite pas à ça. Google regarde aussi si ton contenu est pertinent et complet (pas juste bourré de mots-clés).

Les balises HTML

Ton texte doit être clair, bien structuré. Utilise des titres H1, H2, H3 pour que Google et les lecteurs suivent facilement le fil de tes idées.

Les méta-descriptions

En 160 caractères, tu dois donner envie de cliquer. Vois ça comme une accroche percutante qui attire l’œil.

Devenir rédacteur web sans diplôme : mythe ou réalité ?

Ah, la question qui taraude tellement d’esprits ! Est-ce vraiment possible de devenir rédacteur web sans passer par la case études ? Eh bien, je vais te répondre franchement, car moi aussi, je suis passé par là.

On vit à une époque où les autodidactes ont la cote. Les parcours traditionnels, bien que valorisants, ne sont plus les seuls moyens d’accéder à certains métiers.

Prenons par exemple ce chiffre qui a de quoi faire sourciller : 36% des rédacteurs web en France se considèrent autodidactes et ont appris la rédaction web par eux-mêmes. C’est d’ailleurs mon cas.

Cependant, et je tiens à être honnête avec toi, se lancer sans diplôme exige d’avoir une détermination en béton armé.

Mais attention, sans formation rédacteur web, il te faudra t’accrocher. Être autodidacte, ça ne signifie pas avancer à l’aveugle. Cela veut dire chercher activement des ressources, se former en ligne, lire des bouquins, et surtout, pratiquer, pratiquer, pratiquer.

Note de moi :

Mais même sans formation officielle, tu peux suivre des ateliers, des webinaires ou des MOOCs en ligne. Ils te donneront une structure et des bases solides pour te lancer dans la rédaction web.

Les ressources pour bien maîtriser le SEO

Apprendre le SEO demande un peu de temps, mais il existe plein de ressources pour t’y aider. Voici quelques pistes :

Gratuites :

  • Moz Blog : parfait pour comprendre les bases du SEO et rester à jour.
  • Neil Patel : ses guides sont simples et efficaces, même pour les débutants !

Payantes :

  • Semrush Academy : des formations complètes sur tous les aspects du SEO, de la recherche de mots-clés à l’audit de site.
  • Ahrefs Academy : super pour aller plus loin dans l’analyse des backlinks et l’optimisation technique.

Les outils qui te facilitent la vie

Pour bien bosser en SEO, il faut les bons outils. En 2024, il y en a plein, mais voici ceux que je recommande :

Yoast SEO : si tu utilises WordPress, c’est le plugin à avoir pour optimiser ton contenu en temps réel.

Grammarly ou LanguageTool : pour corriger les fautes d’orthographe et de grammaire. Un texte sans erreurs, c’est toujours mieux perçu par Google (et surtout par tes lecteurs).

Semrush ou Ahrefs : Incontournable pour analyser tes concurrents, trouver des mots-clés et suivre tes résultats SEO.

Les erreurs à éviter en SEO

Quand on débute, il y a des erreurs courantes. Voici les plus fréquentes :

Le bourrage de mots-clés : à trop vouloir optimiser, ça joue souvent des tours. Google pénalise d’ailleurs ce genre de pratique, et plutôt sévèrement. Il faut rester naturel, un point c’est tout !

Écrire pour les robots : ton contenu doit répondre à une vraie question, de façon claire et précise. Sinon, les lecteurs partiront vite et ton taux de rebond explosera (et ça, Google n’aime pas).

Ignorer les liens internes : le maillage interne est important pour le SEO (personne ne te le dira jamais assez). Il permet de rediriger les lecteurs vers d’autres articles. Et Google adore ça.

2. Choisir une niche pour se spécialiser

Si tu veux réussir en tant que rédacteur web, tu ne peux pas tout faire. Sache-le.

Les clients cherchent des experts, pas des généralistes. Si tu deviens « celui ou celle qui écrit sur tout« , tu risques de te perdre dans la masse. Et de ne pas valoir plus qu’un rédacteur sur Textbroker ou TextMaster !

Quand j’ai débuté, je faisais la même erreur : je rédigeais sur des sujets aussi variés que la mode, la finance ou même des recettes de cuisine.

Du coup, je m’éparpillais, et les clients intéressants ne venaient pas. Ce que j’ai appris ? Se spécialiser te permet de devenir un expert dans un domaine.

Du coup, tu attires les bons clients et tu peux même facturer plus cher.

Les niches les plus rentables pour 2024

Pour éviter de courir après des petits contrats, voici quelques niches qui rapportent bien en 2024 :

  • Le marketing digital et SEO
  • L’e-commerce
  • Le secteur de la santé
  • La tech

Quand j’ai débuté en tant que rédacteur web, je me suis dit que je pouvais écrire sur tout et n’importe quoi.

J’ai vite compris que me spécialiser m’offrirait non seulement une meilleure visibilité, mais aussi une meilleure crédibilité. Prenons un exemple concret.

Je me suis spécialisé dans la rédaction web pour les sites de voyage. Je me suis parfaitement référencé sur le mot clé « rédacteur web tourisme » et je suis désormais 4ème sur la première page Google.

Rédacteur web tourisme | Se spécialiser dans une niche

Par conséquent, je reçois souvent des demandes et je peux même facturer mes services bien plus chers.

Trouver sa niche dans la rédaction web, c’est un peu comme trouver sa voie. Prends un moment pour réfléchir à ce qui te passionne vraiment, à ce sur quoi tu pourrais écrire des heures et des heures sans te lasser.

Comment choisir une niche qui te correspond

Choisir sa niche, c’est un peu comme choisir une carrière. Tu dois te poser les bonnes questions :

De quoi tu veux parler ? Si tu es passionné par les voyages ou la finance, oriente-toi vers ces domaines.

Quelles compétences tu as déjà ? Peut-être que tu maîtrises le SEO ou que tu as des bases en marketing. Utilise ça pour te spécialiser.

Qu’est-ce qui est demandé en 2024 ? Regarde les tendances et les besoins du marché. Pas besoin de réinventer la roue, va là où il y a des clients.

Travailler dans plusieurs niches, c’est possible ?

Oui, tu peux, mais ne te disperse pas trop.

Tester plusieurs niches au début, c’est une bonne idée, ça t’aide à découvrir ce qui te plaît. Mais attention, plus tu t’éparpilles, moins tu seras vu comme un expert dans un domaine précis.

Commence large si tu veux, mais n’hésite pas à te concentrer sur une niche une fois que tu l’as trouvée.

3. Construire un portfolio solide

Quand j’ai commencé en rédaction web, j’envoyais plein de propositions à des clients, en croisant les doigts pour qu’on me donne une chance. Mais à chaque fois, j’entendais la même chose : « Où est ton portfolio ? ». Et là, je ne savais pas quoi dire.

J’avais quelques articles, mais rien de bien structuré, rien de vraiment convaincant.

Un jour, un client m’a dit : « Sans portfolio, tu n’auras jamais de clients sérieux.«  C’est comme vendre une maison sans photos.

Ça m’a vraiment secoué. J’ai réalisé qu’il fallait que je montre mes compétences, pas juste en parler.

C’est là que j’ai décidé de construire mon portfolio.

Le plus fou, c’est qu’avec seulement 3-4 exemples bien soignés, tout a changé. Plus personne ne me demandait si j’avais de l’expérience, on me demandait plutôt quand je pouvais commencer.

Créer un portfolio sans clients

Je sais, tu te dis sûrement : « Je n’ai pas encore de clients, comment je fais un portfolio ?« . J’ai eu exactement la même réflexion. Mais la vérité, c’est que tu n’as pas besoin de clients pour prouver ce que tu sais faire.

Voici comment j’ai fait :

▶ J’ai rédigé des articles fictifs sur des sujets d’actualité dans ma niche. Je les ai écrits comme si j’avais déjà des commandes. C’est un bon moyen de s’entraîner tout en créant des exemples concrets à montrer (et oui, un bon article reste un bon article, même s’il est fictif).

▶ J’ai aussi proposé des articles gratuits à quelques blogueurs. C’est une bonne stratégie pour démarrer et te donner de la visibilité (même si je ne recommande pas de le faire à long terme).

▶ J’ai utilisé mon propre blog pour prouver ce que je savais faire. Chaque article devenait une opportunité de montrer mon expertise.

Ce qu’il faut mettre dans ton portfolio

Quand tu as tes premiers exemples d’articles, la prochaine étape, c’est de bien les présenter. Au début, j’envoyais des liens un peu en désordre.

Et franchement, ça ne marchait pas. Ce qu’il te faut, c’est un portfolio qui fait pro, un truc bien structuré, qui montre ce que tu sais faire, sans en faire trop.

D’abord, ne mets que tes meilleurs exemples.

Pas besoin d’en avoir 50. 3 à 5 suffisent largement. Ce qui compte, c’est la qualité, pas la quantité. Le but, c’est que le client voit tout de suite ce que tu fais de mieux.

Ensuite, montre que tu sais faire plusieurs types de contenus. Des articles de blog, des newsletters, des fiches produits, des pages de vente… Bref, varie un peu.

Ça prouve que tu es capable de t’adapter à différents besoins, et ça, c’est un atout énorme.

Enfin, si tu as déjà bossé pour des clients, même pour des petites missions, n’hésite pas à demander des retours. Des témoignages qui disent que tu fais du bon boulot, ça rassure.

Ça montre que tu as déjà fait tes preuves et que tu sais répondre aux attentes.

Où héberger ton portfolio ?

Pour ma part, j’ai créé mon propre site web. Ça a pris un peu de temps, mais la différence a été énorme. Un site pro, c’est la vitrine qui montre que tu es sérieux.

Mais si tu veux aller plus vite, voici quelques autres options :

Comme moi, tu peux créer ton propre site web. C’est la meilleure solution pour contrôler ton image. Tu peux personnaliser le design, ajouter un blog, et te positionner comme un expert. J’ai utilisé WordPress, et en quelques jours, mon site était en ligne (et fonctionnel).

▶ Si tu n’as pas envie de créer un site, des plateformes comme Contently ou Malt te permettent de faire un portfolio en quelques clics (tout est déjà prêt, tu n’as plus qu’à ajouter tes exemples).

LinkedIn. Oui, ne sous-estime pas LinkedIn. J’ai reçu plusieurs propositions simplement en publiant quelques posts. Rien qu’à l’heure où j’écris ces lignes, je viens de vendre un pack 4 articles de blog pour 499 euros par mois, juste parce que le prospect m’a trouvé sur LinkedIn.

Je prends l’exemple d’Inès Sivignon. Elle était à la fac Lyon 2 en Lettres Appliquées, et elle a assisté à l’une de mes interventions dans laquelle j’expliquais le métier de rédacteur web.

Je ne sais pas si c’est mon discours qui l’a motivé, mais elle s’est finalement lancée dans le domaine. Et elle a trouvé tous ses clients via LinkedIn. En moins de trois mois, elle ne prenait déjà plus de nouveaux clients !

4. Se vendre et créer une présence en ligne

Je vais être honnête : quand j’ai commencé, je n’avais aucun réseau.

LinkedIn ? C’était pas ma came (et ça ne l’est toujours pas aujourd’hui, je suis trop nul sur les réseaux sociaux).

Personne ne parlait alors de moi, et je ne savais même pas par où commencer. Alors, je me suis dit : “Si personne ne sait qui je suis, je vais les forcer à me voir.” Et tu sais comment j’ai fait ? Avec mon site web.

Aujourd’hui, 91% des clics sur Google se font sur la première page des résultats. Donc, autant te dire que tu dois être bien référencé sur Google.

Mon tout premier site, je l’ai construit en mode système D, avec zéro connaissance technique. Mais je savais une chose : si je voulais sortir du lot, il me fallait un endroit où je pouvais montrer mon travail, mes compétences, et surtout, où je pouvais contrôler mon image.

Je me suis donc lancé dans la création de contenu optimisé pour le SEO. Petit à petit, Google a commencé à me remarquer.

En même temps, en 2011, il était encore TRÈS facile de se faire une place dans le secteur de la rédaction web.

Bref, mon site est devenu ma vitrine, et grâce au SEO, j’ai vu mes premiers clients débarquer sans que j’aie à leur courir après. Et ce, à peine un mois après le lancement de mon site.

Ma leçon du jour : tu ne dois pas juste attendre que les choses arrivent. Tu dois prendre les devants, te montrer, et prouver ta valeur. Aujourd’hui, si tu n’es pas visible en ligne, c’est comme si tu n’existais pas.

Utiliser les réseaux sociaux pour te promouvoir

Alors ça, je ne l’ai compris que trop tard. Mais si tu n’utilises pas les réseaux sociaux, tu passes à côté d’une énorme opportunité.

Je ne te dis pas de devenir un influenceur, mais d’être présent et actif. Voici comment :

LinkedIn

C’est LE réseau pour trouver des clients dans le domaine du B2B. Partage tes articles, commente ceux des autres, et optimise ton profil pour attirer l’attention.

C’est là que je décroche aujourd’hui 15% de mes contrats.

Instagram et TikTok

Si tu travailles dans des niches comme le lifestyle, la mode, ou le voyage, Instagram et TikTok peuvent devenir un véritable atout. Montre les coulisses de ton métier, partage des conseils rapides sur la rédaction ou le SEO.

L’objectif : montrer ton expertise tout en humanisant ta marque.

Twitter

C’est idéal pour des échanges rapides et des discussions autour de la tech, du SEO, ou du journalisme. Beaucoup d’opportunités naissent ici, mais attention, sois actif et réactif.

Comment construire une réputation solide en tant que rédacteur web débutant

Quand t’es nouveau, personne ne sait qui tu es. C’était pareil pour moi. Personne ne me connaissait, et c’était frustrant.

Je devais me faire un nom dans cet océan de rédacteurs déjà établis. Si tu veux sortir de l’ombre, voici ce que tu peux faire :

Crée un blog personnel

Ce que j’ai vite compris, c’est que mon blog n’était pas juste un passe-temps. C’était mon meilleur outil de promotion. Il te permet de montrer ce que tu sais faire, de prouver que tu maîtrises ta niche.

Au début, je n’avais pas de clients, mais mon blog m’a permis de prouver que je savais écrire et que j’avais des connaissances solides en SEO. Ça m’a ouvert des portes.

Propose des articles invités

J’ai aussi écrit pour des blogs populaires dans ma niche. Gratuitement au début, mais ça m’a permis de montrer mon expertise à un plus large public.

Et puis, ce type de contenu peut aussi améliorer ton SEO si tu places bien tes liens.

Demande des recommandations

C’était galère au début, mais dès que j’ai eu mes premiers petits clients, j’ai tout de suite demandé des témoignages. Chaque retour positif booste ta crédibilité. Même une simple mission, si elle est bien menée, peut te rapporter un super feedback qui rassurera les prochains clients.

Publie sur LinkedIn

Quand j’ai commencé à publier sur LinkedIn, j’étais sceptique. Mais rapidement, des gens ont commencé à aimer, commenter, et partager.

Un simple post bien rédigé peut te faire gagner en notoriété.

Les erreurs à éviter en personal branding

Là aussi, j’ai fait des erreurs, mais voici ce que j’ai appris et que tu dois éviter :

▶ Ton contenu doit toujours apporter quelque chose à ton audience. Trop parler de toi, de tes réussites, et pas assez de ce que tu peux apporter, ça te fait passer pour quelqu’un de trop centré sur soi.

▶ Si tu te dis spécialiste du SEO et que tu postes ensuite des articles sur des sujets qui n’ont rien à voir, tu perds en crédibilité. Garde une ligne éditoriale claire.

▶ Ne poste pas juste pour poster. Prends le temps de rédiger des articles ou des posts qui ont vraiment de la valeur. Chaque publication est une occasion de prouver ton expertise.

5. S’adapter aux nouvelles tendances technologiques

Tu l’as probablement déjà entendu : “Le SEO est mort.”

Certains disent que tout ce qui reste à faire, c’est d’utiliser les bons prompts pour que ChatGPT écrive tout à ta place. Mais tu sais quoi ?

Si tu te contentes de ça, tu es déjà en train de perdre la bataille. Ce n’est pas l’IA qu’il faut craindre. Ce qui tue les rédacteurs, c’est la banalité.

Un texte qui pourrait tout aussi bien être généré par une IA, avec un contenu générique qui n’apporte rien de plus que les trois premiers résultats sur Google.

Il y a tellement de rédacteurs aujourd’hui qui tombent dans ce piège : un joli site, une belle mise en page, mais à l’intérieur ? Le vide.

Des articles pleins de mots, mais sans substance, sans personnalité, sans âme. Et les clients, eux, le voient. Ils le sentent. C’est pourquoi, en 2024, tu dois proposer plus qu’un simple contenu SEO.

Tu dois rendre ton contenu unique, et c’est là que ChatGPT et les autres IA ne peuvent pas te suivre.

Pourquoi l’IA ne remplacera pas l’originalité ?

Tu sais ce que l’IA ne pourra jamais faire ? Être originale.

L’IA fonctionne en reprenant ce qui a déjà été écrit. Elle ne peut pas créer de l’émotion, ni apporter un regard unique sur un sujet. Ce que les lecteurs attendent, c’est ce que toi seul peux leur donner : un avis, un ton, une histoire.

Si tu te contentes de recopier ce que tout le monde fait, même en ajoutant un peu de personnalisation, tu es juste une autre version d’un même article déjà vu des milliers de fois.

Le SEO n’est pas mort, mais il a changé. Avant, c’était une course aux mots-clés, aux backlinks, aux métriques que Google aimait.

Aujourd’hui, c’est une course à l’authenticité. Tu dois te battre pour écrire du contenu qui parle aux gens, pas à un algorithme. Les IA sont bonnes pour remplir du vide ou pour accélérer des tâches répétitives, mais elles ne peuvent pas créer du lien avec ton audience.

Et si tu joues ce jeu-là, tu perdras, car tu entres dans une compétition où les machines sont plus rapides que toi.

Comment rédiger du contenu expert et sortir du lot

Tu ne dois pas chercher à être celui qui produit le plus de contenu. Produire des articles en masse, c’est la voie de ceux qui croient encore au SEO à l’ancienne. Ce n’est pas ta stratégie.

Ce que tu dois viser, c’est de devenir un expert. Écris des articles qui apportent de la valeur, qui creusent vraiment un sujet.

Parle à ton client, pas à Google. Identifie les vrais problèmes de ton audience et réponds-y avec précision et expertise. C’est comme ça que tu te démarques.

Exemple : Au lieu d’écrire un énième article sur « Comment bien structurer un texte SEO », explique à ton audience comment éviter les pièges du SEO banal, ceux où l’on ne fait que copier les autres. Donne des exemples concrets de ce qui fonctionne vraiment dans ton secteur.

▶ Les lecteurs et les clients ne cherchent pas seulement des informations. Ils cherchent quelqu’un qui comprend leur problématique et qui peut y répondre avec précision et expertise.

Laisser les stratégies génériques de côté et miser sur ton expertise

Il y a deux types de contenus aujourd’hui :

▶ Les thématiques ultra-compétitives, où les entreprises ont des budgets énormes et des armées de rédacteurs SEO qui produisent du contenu à la chaîne. Ce jeu-là, laisse-le à ceux qui ont des équipes entières à disposition.

▶ Les articles générés en masse par l’IA. Oui, ces contenus montent parfois dans les résultats de recherche. Mais combien de temps un lecteur va rester sur un article écrit par une machine, sans personnalité, sans angle intéressant ? Pas longtemps.

Et ensuite, il y a ton contenu, celui qui parle aux gens. C’est là que tu veux être. Ton expertise est ce qui te différencie. Ne te laisse pas piéger par la quantité.

Cible des mots-clés spécifiques à ton domaine, creuse profondément, et montre que tu es celui ou celle qui sait de quoi il parle.

Rendre ton contenu inimitable : un autre jeu

Tu dois voir la rédaction web comme un artisan, pas comme un industriel. Les machines produisent en masse, sans âme. Toi, tu dois injecter ton propre style, ta propre voix. C’est ce qui te rendra unique.

Adam Grant disait : “Les originaux sont ceux qui se détachent et osent prendre la parole.” Alors oui, tout le monde parle de contenu SEO, mais qui ose donner un avis tranché ?

Qui apporte du neuf ?

Qui prend des risques pour créer du contenu que les lecteurs n’oublieront pas ?

Le secret, c’est de ne pas vouloir plaire à tout le monde. Choisis ta niche, parle à une audience bien spécifique, et deviens leur référence.

Tu n’as pas besoin de beaucoup de trafic pour réussir. Tu as simplement besoin de leads de qualité, qui viennent à toi parce qu’ils reconnaissent en toi un expert qui ne joue pas selon les règles classiques.

Fais la différence en :

Écrivant des articles experts. 90% de ton contenu doit venir de toi, avec ton expertise, et seulement 10% peut être amélioré par des outils comme l’IA. Pas l’inverse.

Identifiant les vrais besoins de ton audience. Construis des landing pages spécifiques, qui parlent à tes clients de façon précise, et non à des robots.

Ne cherchant pas à faire du buzz mais en apportant de la valeur réelle. Tes articles doivent résoudre des problèmes concrets, pas juste gonfler des statistiques SEO sur SEMrush.

À retenir : Tu n’es pas remplaçable si tu restes original

L’IA est là, et elle restera. Mais elle ne remplacera jamais un esprit original.

En 2024, les gens ne veulent plus lire des contenus génériques. Ils veulent des histoires, des idées neuves, des opinions tranchées. C’est ce qui te rend unique.

Ne te concentre pas sur le nombre de vues, mais sur la qualité des interactions que tu crées avec ton audience.

6. Le statut de micro-entrepreneur

En 2011, je menais une véritable double-vie.

D’un côté, je travaillais chez Unilever en tant que chef de secteur GMS, à courir entre les supermarchés, gérer les relations commerciales, et pousser les ventes. C’était un job intense, avec des objectifs à atteindre, des challenges commerciaux à relever…

Mais à l’arrière de ma tête, il y avait toujours cette envie de faire quelque chose pour moi, quelque chose de plus personnel.

C’est là qu’a commencé ma seconde vie : le soir, en freelance. Je rentrais du boulot, allumais mon ordi, et me lançais dans la rédaction.

Les débuts étaient timides : quelques articles ici et là, des fiches produits pour des e-commerces… rien d’énorme. Mais à chaque projet, je sentais que j’avais cette opportunité de créer quelque chose.

Un travail qui m’appartenait, sans patron, sans cadre rigide, juste moi, mon clavier, et mes idées.

Et le statut de micro-entrepreneur ? C’était la solution idéale.

À l’époque, il s’appelait encore auto-entrepreneur, et il me permettait de tester mes compétences, de facturer sans galère administrative, tout en conservant mon emploi chez Unilever. Je ne voulais pas faire un saut dans le vide.

Ce statut m’a permis de prendre le temps de construire quelque chose tout en gardant la sécurité d’un salaire fixe.

Chaque contrat de rédaction que je décrochais était une petite victoire, et rapidement, j’ai compris que le statut de micro-entrepreneur n’était pas juste une formalité administrative : ça m’a permis de faire mes preuves dans le freelancing, sans avoir à quitter mon boulot du jour au lendemain.

Et aujourd’hui ? Ce statut est toujours aussi pertinent pour ceux qui veulent se lancer à leur rythme, comme moi à l’époque, tout en gardant un filet de sécurité.

Pourquoi le statut de micro-entrepreneur est toujours pertinent en 2024

En 2024, le statut de micro-entrepreneur reste le meilleur allié pour ceux qui veulent se lancer en freelance, tout en gardant un filet de sécurité, surtout si, comme moi à l’époque, tu as déjà un emploi à temps plein.

La simplicité du système n’a pas changé, et les avantages sont toujours là :

▶ Pas besoin d’investir dans une structure juridique lourde.

▶ La gestion est allégée, tu ne dois pas devenir un pro de la comptabilité pour t’en sortir.

▶ Et le plus important : tu peux cumuler ton emploi et ton activité freelance sans problème. À l’époque, je pouvais jongler entre mes missions pour Unilever la journée, et mes contrats de rédaction le soir. Aucun conflit, aucune complication.

Mais aujourd’hui, avec les nouveaux outils et la digitalisation des démarches, c’est encore plus simple qu’avant.

Plus besoin d’envoyer des documents physiques comme je l’ai fait en 2011. En 2024, tout se passe en ligne : tu t’inscris, tu gères tes déclarations, tout depuis ton ordinateur. C’est rapide et pratique.

Les évolutions du statut depuis 2011

Depuis mes débuts, le statut de micro-entrepreneur a bien évolué. Les plafonds de chiffre d’affaires ont été augmentés, les charges ont été ajustées, et la gestion s’est grandement simplifiée.

Quand je compare à mes premières déclarations en 2011, où je devais encore faire certaines choses à l’ancienne, aujourd’hui c’est presque un jeu d’enfant.

L’un des grands changements, c’est le plafond de chiffre d’affaires. En 2024, tu peux gagner jusqu’à 77 700 € par an en prestations de services.

C’est bien plus que ce que j’avais à l’époque, et ça te laisse de la marge pour faire décoller ton activité tout en restant sous le régime de la micro-entreprise.

De plus, les cotisations sociales sont toujours proportionnelles à ton chiffre d’affaires. Ce que j’aimais et qui est toujours d’actualité, c’est que si tu ne gagnes rien un mois, tu ne paies rien. Tu es en totale flexibilité.

En 2011, ça m’a permis de ne jamais me sentir pris à la gorge quand les mois étaient plus calmes.

Pourquoi opter pour le micro-entrepreneur reste une bonne idée ?

Tu pourrais te dire : “Oui, mais est-ce toujours aussi intéressant aujourd’hui ?” Et la réponse est oui. Voici pourquoi :

▶ La simplicité administrative reste l’un des plus grands atouts. Si tu ne veux pas te perdre dans des bilans comptables complexes ou devoir embaucher un comptable dès le début, c’est le statut qu’il te faut. Tu gères toi-même ta comptabilité en quelques heures par mois.

▶ En tant que salarié à l’époque, j’avais la liberté de continuer à travailler chez Unilever tout en développant mon activité freelance sans pression. Aujourd’hui encore, ce statut te permet de tester une activité sans prendre de gros risques financiers ou administratifs.

▶ En tant que micro-entrepreneur, tu n’as pas à investir des milliers d’euros pour te lancer. Pas de capital social à déposer, pas de frais d’inscription élevés. Tu te lances avec presque rien, à part ta motivation et tes compétences. Je n’avais pas beaucoup de moyens en 2011, et c’est ça qui m’a permis de tester mes capacités sans stresser pour l’argent.

Les pièges à éviter quand tu te lances en micro-entrepreneur

Quand tu te lances en tant que micro-entrepreneur, c’est facile de tomber dans certains pièges si tu n’es pas préparé. Voici ceux que j’ai rencontrés (ou vus autour de moi) et comment les éviter :

Déjà, il y a la gestion administrative. Certes, c’est simplifié, mais ne te laisse pas piéger par la simplicité. Oublier de déclarer ton chiffre d’affaires régulièrement peut te coûter cher en pénalités.

J’ai vu plusieurs freelances s’y brûler les ailes (y compris moi). Un conseil : mets un rappel pour tes déclarations mensuelles ou trimestrielles, et tiens à jour ton registre des recettes.

Ensuite, fais attention au plafond de chiffre d’affaires. Quand tu approches des 77 700 €, il est temps de réfléchir à passer à un statut plus adapté comme l’EURL ou la SASU.

Ne te laisse pas surprendre au dernier moment, sinon tu risques des démarches compliquées et un changement de statut non anticipé.

Enfin, pense à bien gérer tes cotisations sociales. Il ne faut pas oublier que 22% de ton chiffre d’affaires part en cotisations.

Mets de côté dès que tu reçois des paiements, sinon tu pourrais te retrouver dans une situation délicate quand les appels à cotisation arriveront.

7. Trouver des clients sans te prendre la tête

Trouver des clients, ça peut te faire un peu flipper quand tu débutes en rédaction web.

On imagine souvent qu’il faut passer des heures à prospecter par téléphone, ou pire, assister à des événements pour distribuer des cartes de visite.

Bonne nouvelle : tu peux totalement zapper cette étape (j’en parle d’ailleurs dans ma formation rédacteur web).

Automatise ta prospection

En 2024, tu peux trouver des clients sans lever le petit doigt, grâce à la prospection automatisée. C’est simple, efficace et surtout, ça t’évite des appels interminables.

Le concept ? Des outils qui bossent à ta place pendant que toi, tu te concentres sur l’écriture.

Des plateformes comme LinkedIn ou des services d’emailing automatisé te permettent de cibler tes prospects, d’envoyer des messages personnalisés, et de créer une relation client avant même d’avoir échangé avec eux.

En clair, tu peux contacter des centaines de prospects sans rédiger chaque message toi-même.

Des outils comme PhantomBuster, Lemlist ou Mailchimp s’occupent de tout : récupérer des emails, envoyer des messages et suivre les réponses (pratique, non ?). Pendant ce temps, tu écris tes articles ou tu prends un café, sans stress.

Et ce qui est top, c’est que tu n’as pas besoin d’être un pro de la vente. Ton contenu et ta stratégie d’emailing font le boulot.

Sois là où tes clients te cherchent (ils ne viendront pas tout seuls)

Les clients ne vont pas venir frapper à ta porte par hasard, mais si tu as la bonne présence en ligne, ils peuvent te trouver tout seuls.

Un site web bien référencé (SEO), c’est comme laisser ta carte de visite là où ton client idéal a l’habitude de passer régulièrement. C’est ce que j’ai fait, et ça marche encore en 2024.

Avec un site bien optimisé, qui montre tes travaux et un blog rempli d’articles intéressants, tu peux attirer des clients sans faire d’effort. Chaque article, chaque page bien travaillée, devient un aimant à prospects.

Tu montres ce que tu sais faire, tu inspires confiance, et tout ça avant même qu’ils aient pensé à t’envoyer un message.

Les réseaux sociaux, pour prospecter sans forcer

Les réseaux sociaux ne sont pas là juste pour partager des photos de vacances. Ils peuvent vraiment booster ton activité.

LinkedIn, par exemple, te permet de créer des relations pros sans que tu aies besoin d’aller chercher les gens directement. Il suffit de publier du contenu régulièrement, d’interagir avec des posts intéressants, et de montrer ce que tu sais faire.

Un post LinkedIn bien ficelé peut devenir viral et attirer des clients sans que tu aies à les solliciter activement. C’est ce que j’appelle de la prospection passive : tu montres ta valeur, et les clients viennent d’eux-mêmes.

Oublie les rendez-vous physiques et les appels à froid (plus besoin de ça)

Si toi aussi, tu n’es pas fan des rendez-vous en face-à-face ou des appels téléphoniques, bonne nouvelle : tu peux t’en passer.

Avec les stratégies de lead nurturing automatisées, tu peux établir une relation de confiance avec tes prospects sans même décrocher le téléphone.

Tes emails bien pensés et ton site web bien ficelé font tout le travail (et toi, tu restes tranquille chez toi).

Adapte une stratégie qui te ressemble

En résumé, aujourd’hui, tu peux trouver des clients sans sortir de chez toi, ni faire de la prospection à l’ancienne.

Avec une stratégie digitale bien construite et les bons outils d’automatisation, tu verras que les clients viennent à toi. Il suffit de rester régulier et de laisser faire le temps.

8. Choisir une bonne formation rédacteur web

Parlons de la formation pour devenir rédacteur web. Une bonne formation, ça ne s’improvise pas : elle doit te fournir non seulement les compétences rédactionnelles de base, mais aussi une solide connaissance en référencement SEO, et en stratégie de contenu.

C’est bien beau de savoir écrire, mais si personne ne lit tes textes, ça ne sert à rien. Apprendre les techniques SEO est donc essentiel.

De plus, une bonne formation rédacteur web doit te permettre de comprendre les attentes de tes clients, et te donner les outils pour gérer tes projets de A à Z. Pour vérifier la qualité d’une formation, rien de tel que de jeter un œil aux avis des anciens élèves et aux résultats qu’ils ont obtenus.

Un bon formateur doit aussi pouvoir te guider, te conseiller et te suivre même après la formation.

Tu vois, une formation rédacteur web de qualité, c’est celle qui te donne les clés pour décoller dans le métier de rédacteur web sans te laisser dans le flou.

C’est pour ça que je partage toutes ces bonnes choses dans ma formation rédacteur web. Tu peux d’ailleurs découvrir le programme en cliquant ci-dessous.

Les tops du métier

Le premier avantage à devenir rédacteur web, c’est que tu as la liberté de travailler d’où tu veux. Un café bruyant au cœur de Paris, ton salon tranquille, ou même une plage à Bali, le monde est à toi.

Note de moi :

J’ai adoré ma période asiatique, où je vivais au Vietnam, travaillant le matin et visitant l’après-midi. Ça me manque. Mais bon : je suis devenu papa depuis et je n’ai plus cette liberté de voyager. Bref.

Tu peux également choisir tes sujets, les clients avec qui tu veux travailler et les domaines qui te passionnent. Et tu ne seras jamais à court de projets.

Rien qu’en 2022, la croissance des sites de vente en ligne en France a continué, avec plus de 10 000 nouveaux sites actifs, soit une hausse de 5 % par rapport à l’année précédente. On compte ainsi 207 000 sites marchands actifs à la fin de l’année 2022.

Terminons avec le salaire. Si tu sais te démarquer, tu peux convenablement améliorer ton niveau de vie.

En tant que salarié, un rédacteur web gagne en moyenne 1 800 à 2 500 euros brut par mois (jusqu’à 35 à 40 000 euros brut par an pour un senior). En tant que professionnel, les revenus peuvent grimper jusqu’à 4 000 euros brut par mois.

À titre d’exemple, je génère entre 4k et 6k de revenus mensuels, rien que pour la prestation de service. Bon après, je travaille beaucoup aussi.

Les flops du métier

Forcément, le métier n’est pas exempt d’inconvénients. La concurrence est rude et il faut constamment se former pour rester au top. La gestion des clients peut parfois être compliquée, surtout si tu choisis de devenir rédacteur web freelance.

Sans compter que le travail peut être parfois précaire et irrégulier. Les revenus varient et la stabilité financière n’est pas toujours au rendez-vous.

Ceci dit, chaque métier a ses avantages et ses inconvénients. Et puis, le jeu en vaut clairement la chandelle. Surtout si tu as la passion de l’écriture et que tu as un vrai talent pour mettre tes pensées sur le papier.

Je ne m’attarde pas trop sur ce sujet, puisque j’ai plutôt envie de te faire aimer le métier que de le détester.

Allez, c’est pas fini, je vais t’expliquer comment créer ton empire (j’ai entendu cette expression une fois dans mon espace de coworking, et je l’adore depuis) en tant que rédacteur web freelance.

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