by Alexandre Montenon

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Par Alexandre Montenon
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Apprendre le copywriting : combien de temps pour être vraiment bon ?

Temps de lecture : 15 minutes

Par Alexandre Montenon
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Vous voulez apprendre le copywriting ?

C’est une belle ambition, mais autant vous prévenir : ça ne se fera pas en claquant des doigts. Les mots, ici, ne sont pas que des mots. Ce sont vos armes pour convaincre, vos outils pour vendre, et la base de votre crédibilité.

Alors oui, au début, vous allez tâtonner.

Vous penserez que ça y est, vous avez trouvé “le ton parfait” ou “la phrase qui tue.” Et puis, en relisant, vous vous demanderez comment vous avez pu écrire ça. C’est normal, c’est le jeu.

Écrire, vraiment écrire, pour toucher et captiver, c’est tout sauf un tour de magie. C’est apprendre à connaître chaque recoin de votre audience, à maîtriser les codes du SEO, à doser vos mots pour qu’ils frappent juste.

Rien de plus. Rien de moins.

Et combien de temps pour y arriver ? Entre six mois et un an, en y mettant les heures chaque semaine. Pas de raccourci, pas de secret. C’est long, oui. Et c’est pour cela que très peu vont jusqu’au bout.

Personnellement, j’y ai mis des années.

Années de formations, de tentatives, de pages réécrites dix fois, de doutes et de recommencements. J’ai appris le copywriting comme on apprend à jouer un instrument. Chaque erreur, chaque “ça ne marche pas” m’a servi.

Et c’est là que vous verrez la différence entre ceux qui s’accrochent et les autres.

Parce qu’après les bases, c’est la pratique qui va vous façonner. Écrire tous les jours, encore et encore. Prendre le temps de relire, de corriger, de creuser pourquoi tel mot fonctionne et tel autre non.

Ça finit par devenir des réflexes, gravés en vous.

Écrire de bons textes, de vrais textes qui marquent ? Oui, c’est possible, mais ça demande du temps et de la persévérance. On peut en maîtriser les bases en quelques mois, mais créer du contenu percutant ? C’est un autre niveau.

Et c’est ce niveau que vous allez atteindre si vous vous y engagez vraiment.

Moi, j’ai fait ce chemin. Et si vous êtes prêt à vous investir, à laisser des heures et une bonne dose de patience, vous verrez que le résultat en vaut chaque effort.


Apprendre le copywriting de base : combien de temps pour être à l’aise ?

Au début, vous allez tituber. Vous allez aligner les mots et, disons-le franchement, parfois ce ne sera pas bon.

Ça fait partie du jeu. Mais, avec de la pratique, on finit par se redresser, par sentir ce que ça fait de vraiment trouver son équilibre.

Les bases, pour moi, ce n’est pas seulement écrire deux-trois phrases sympas. C’est comprendre votre audience, maîtriser le fonctionnement des moteurs de recherche et, surtout, faire passer un message qui marque, qui reste. Rien de plus.

Alors, combien de temps pour s’y sentir à l’aise ? Pas de mensonge : visez entre six mois et un an. À condition d’y consacrer des heures chaque semaine.

Oui, c’est long.

Mais qui a dit que construire un vrai savoir-faire était rapide ?

Personnellement, j’y ai mis des années. Formations, tentatives, erreurs… J’ai appris à explorer le SEO et le copywriting avec la même rigueur que quand je faisais du porte-à-porte pour vendre des fenêtres.

Et je vous le dis : sans persévérance, ça ne fonctionne pas.

Et après les bases ? C’est la pratique qui sculpte vraiment. Écrire un peu tous les jours, analyser, ajuster… ça finit par devenir des réflexes, gravés dans le quotidien. Et la théorie, soyons clairs, c’est juste le départ. C’est l’acharnement, l’envie de toujours faire mieux, qui vous fait avancer.

Pas de raccourci ici.

Mais si vous vous investissez, les progrès arrivent. Vous allez y laisser des heures, sans doute une bonne dose de patience, mais la satisfaction d’avoir fait le boulot ? Incomparable.

Combien de temps avant de savoir rédiger de bons textes ?

Écrire des textes qui marquent, c’est un défi bien réel. Vous pouvez en maîtriser les bases en quelques mois, c’est vrai, mais produire un contenu percutant ? Là, c’est une autre histoire.

Parce que rédiger “bien”, ce n’est pas juste aligner des mots élégants. C’est transmettre un message, comprendre l’esprit de son lecteur, lui donner envie de rester… et souvent, de passer à l’action. Et ça, ça ne s’apprend pas en survolant quelques articles. Il vous faudra du temps, de la patience et une dose de pratique.

Je le sais, car je l’ai vécu. Quand j’ai commencé dans la rédaction SEO, il ne s’agissait pas seulement de bien écrire. Mon parcours en marketing et en persuasion m’a appris à cerner les vraies attentes des lecteurs, à m’adapter, à captiver. Ces compétences, je les ai forgées avec le temps, entre formations et expériences de terrain.

Alors, combien de temps pour y arriver ? Comptez environ un an, à condition de vous y consacrer sérieusement, chaque semaine. Mais attention, ce n’est que le début. Si vous restez constant, vos compétences évolueront naturellement, comme cela a été le cas pour moi.

Apprendre le copywriting est un engagement de chaque jour, un parcours qui n’en finit jamais vraiment. Vous y laisserez des heures, parfois des nuits blanches, mais le plaisir de savoir que votre contenu touche et engage les gens ? Ça, c’est votre récompense.

Écrire régulièrement pour apprendre le copywriting

Ne nous leurrons pas : rien ne remplace la pratique. Écrire tous les jours, c’est poser des fondations solides. Vous voulez progresser vite et apprendre le copywriting efficacement ? Donnez-vous une demi-heure chaque jour. En quelques mois, vous verrez la différence.

Quand j’ai démarré, je me suis plongé dans la rédaction SEO à fond. Entre les fiches produits, les articles de blog et les commandes clients, j’écrivais sans relâche. Cette régularité m’a permis de gagner bien plus que ce que les cours théoriques auraient pu m’apporter. J’ai appris à affiner mon style, à clarifier mes idées, à aller droit au but.

Alors, soyez assidu. Même si le résultat du jour vous semble imparfait ou insignifiant, chaque mot posé est un pas de plus vers une maîtrise réelle. Ce n’est pas une perte de temps, c’est un investissement.

Se démarquer sans forcer

Votre style est votre empreinte. Mais attention : se démarquer ne veut pas dire jouer un rôle ou surjouer un ton. Pour moi, le style vient naturellement, avec l’expérience et surtout avec la sincérité.

Mon secret pour se démarquer ? Être authentique. Je n’ai jamais cherché à copier qui que ce soit. En étant moi-même, j’ai pu créer un style naturel qui plaît à mes clients et qui résonne avec mes lecteurs. Ce style, il est le reflet de mes valeurs, de ma vision, de ce que je veux vraiment transmettre.

Pour vous, le chemin sera le même. Demandez-vous pourquoi vous écrivez, ce que vous voulez dire, ce que vous seul pouvez apporter. Ne cherchez pas à ressembler à un autre. Connaissez votre valeur, et laissez-la s’imprimer dans chaque mot que vous posez.

Combien de temps pour apprendre le copywriting et maîtriser les secrets des pros ?

Soyons honnêtes : vous n’allez pas devenir un as du copywriting en trois semaines. Ça prend du temps. Pas des années, mais au moins une bonne année de travail sérieux. Et je parle de la vraie pratique : comprendre l’humain en face, ses désirs, ses doutes, ses failles. Ça, ce n’est pas en suivant un tutoriel que vous l’aurez.

J’ai traversé cette route. J’ai perfectionné mon style et mes techniques sur le terrain, en passant de la vente directe aux stratégies marketing digitales. Chaque mot compte. Chaque idée, chaque phrase, a son poids. Quand vous maîtrisez ces secrets, vous ne faites pas que “convaincre” avec vos textes, vous touchez, vous attrapez, vous transformez. C’est ce qui fait toute la différence.

Comprendre la psychologie de l’acheteur

Savoir ce que veut votre client ? Ça ne suffit pas. Il faut aller plus loin. Savoir pourquoi il le veut. Ce qui le retient, ce qui l’angoisse, ce qui le fait avancer malgré tout. C’est ça qui rend un texte percutant, et pas seulement “bien écrit”.

C’est ce que j’ai appris en face-à-face, avec les vraies objections, les vrais silences. Derrière chaque décision d’achat, il y a une intention, un besoin caché. Mon travail, et le vôtre si vous voulez aller au bout, c’est de cerner cette intention et d’y répondre sans détour. Posez-vous les bonnes questions : sans ce niveau de compréhension, vous n’aurez jamais un copywriting qui accroche.

>>> À lire également : Tout ce que les marketeurs doivent savoir sur la psychologie du consommateur

Jouer avec les déclencheurs émotionnels

Si vos mots n’éveillent rien, ça ne sert à rien. Peur, envie, urgence, fierté : voilà les déclencheurs émotionnels, le cœur du copywriting. J’ai passé des années à les manier, à capter l’attention pour que chaque phrase résonne, déclenche un déclic.

Et vous, êtes-vous prêt à jouer avec ces leviers pour faire passer votre message ? Si vous voulez convertir, c’est simple : il faut viser ce qui touche votre lecteur, ce qui l’interpelle vraiment. Sans cette connexion émotionnelle, vos textes resteront fades. Avec, ils frappent. Ça se travaille, un texte après l’autre, jusqu’à ce que l’impact soit là, toujours.

>>> À lire aussi : Comprendre le marketing émotionnel

Utiliser les formules de copywriting qui font vendre

Les meilleurs copywriters ne réinventent pas tout. Ils connaissent les formules qui marchent. AIDA, PAS, tout ça, ce ne sont pas des astuces ; ce sont des armes. Je les utilise tous les jours pour structurer mes textes, pour percuter, pour éviter les détours.

Ces formules vous permettent de guider vos lecteurs, sans qu’ils s’en rendent compte, vers l’action que vous visez. Quand on les maîtrise, on contrôle le rythme, la persuasion, la force du texte. Ce n’est pas immédiat, mais une fois que c’est en place, ça vous donne un avantage net, un contrôle total sur vos écrits.

>>> À lire également : Formule de copywriting : 25 techniques pour faire exploser vos ventes

Combien de temps pour décrocher son premier client ?

Combien de temps avant de signer ce premier contrat ? Soyons clairs : si vous vous engagez sérieusement, ça ne prendra pas des années.

Une stratégie bien construite, une bonne visibilité, et vous pouvez décrocher ce premier client en quelques semaines, quelques mois au maximum. Personnellement, tout a commencé par un simple contact : des fiches produits pour un site d’ami. Opportunité saisie, premier client, et l’aventure était lancée.

Votre priorité ? Exister aux yeux de ceux qui comptent. Mettez en place un portfolio – même minimaliste. Offrez quelques échantillons, connectez-vous. Oui, proposez un tarif réduit pour les premières missions. Insérez-vous dans les groupes de freelances en ligne, contactez les entreprises directement. Montrez ce que vous savez faire : votre travail, c’est votre meilleure carte de visite.

Rappelez-vous : décrocher ce premier client, c’est une question de culot et de stratégie. Ça ne se fera pas en restant les bras croisés. Vous allez essuyer des refus, mais chaque essai vous rapproche du but. Et à la clé ? Une première mission, un retour d’expérience, et surtout, la preuve que vous êtes sur la bonne voie.

>>> À lire également : Comment trouver ses premiers clients en rédaction web sans prospecter ?

À partir de quand on peut (vraiment) lâcher son job ?

Quitter son job actuel pour le grand saut en freelance, ça vous fait rêver ? Avant de tout plaquer, soyez réaliste : partez avec un plan en béton. Je n’ai pas pris ce risque sans préparation. Pour franchir ce cap, il vous faut des clients fidèles et des revenus stables, prouvés sur plusieurs mois.

Combien de temps avant d’en arriver là ? En moyenne, six mois à un an, selon l’intensité de votre démarchage et la fidélisation de vos clients.

Un conseil ? Constituez-vous une épargne de secourstrois à six mois de revenus de côté. En freelance, les rentrées d’argent varient, surtout au début. Mieux vaut être prêt aux imprévus que paniquer à la première accalmie.

Alors, quand envisager la grande sortie ? Quand vous aurez assez de clients réguliers pour couvrir toutes vos charges fixes. Mais attention, le freelancing, c’est aussi gérer sa comptabilité, démarcher en continu, et se former sans relâche. Bref, le moment idéal pour lâcher votre job, c’est quand votre activité freelance tient la route, solide, sans filet.

>>> À lire également : Est-ce que tu connais ton TJM en tant que rédacteur web freelance ?

Les erreurs de débutant : comment éviter de perdre des mois à galérer ?

Reconversion ? Parfait, c’est le moment d’avancer. Mais attention aux erreurs de débutant qui plombent le moral et coûtent un temps fou. J’ai vu des novices se perdre en cours de route, épuisés et démotivés pour de simples erreurs évitables.

Premier piège : se lancer sans se former. On ne s’improvise pas copywriter, alors investissez dans des formations sérieuses. Ne sautez pas les étapes. Ensuite, ne restez jamais isolé. Faites-vous relire, acceptez les critiques, travaillez avec des retours, c’est ça qui fera toute la différence dans vos progrès. Et puis, organisez-vous : fixez-vous des objectifs précis, un plan d’action solide. Travailler “à l’aveugle” ? C’est la recette de l’épuisement rapide.

Enfin, pensez toujours à l’audience. Écrire pour le web, c’est d’abord écrire pour quelqu’un, pas pour un moteur de recherche. Chaque texte doit résonner, toucher, engager. Je le répète : le succès en rédaction repose sur un équilibre entre technique et authenticité. Alors, foncez, évitez les pièges classiques et avancez méthodiquement. Vous verrez, vos efforts paieront.

Apprendre le copywriting, ça ne s’arrête jamais

Si vous imaginez que le copywriting se limite à quelques compétences bien rangées dans une case, oubliez ça. Vous ne faites que gratter la surface. Ici, on parle d’un marathon sans fin, d’une course où la ligne d’arrivée n’existe pas. Le marché change, les outils aussi, et les attentes des clients ? Un véritable courant d’air.

Alors, vous faites quoi ? Vous suivez le mouvement, ou vous restez sur le bas-côté ?

Moi, en plus de dix ans, je n’ai jamais cessé d’apprendre, de tester, de me remettre en question. C’est ça qui fait la différence. La règle est simple : si vous ne bougez pas, vous disparaissez.

Et pour vous ? Une fois les bases acquises, le vrai boulot commence. Chaque texte devient un terrain d’expérimentation. Plus vous avancez, plus vous comprenez que la perfection est insaisissable. Elle se dérobe à chaque ligne. C’est ça, le copywriting : une discipline sans cesse en mouvement, exigeante, vivante.

Suivre les tendances pour rester dans la course

Dans un secteur qui ne cesse de bouger, des compétences figées ne suffiront jamais. Vous voulez rester pertinent ? Alors, vous devez respirer les tendances. SEO, algorithmes, nouvelles attentes des lecteurs : chaque évolution peut renverser votre stratégie. Refuser de suivre, c’est laisser vos lecteurs derrière vous.

Moi, je veille constamment. Je scrute les tendances, les mises à jour, les stratégies de contenu. C’est ma routine, mon exigence quotidienne. Et pour vous ? Ça signifie lire, vous informer, vous adapter sans cesse.

Vous voulez rester dans le jeu ? Alors soyez curieux. Restez en alerte. Sinon, la distance entre vous et vos clients grandira, jusqu’à devenir un fossé infranchissable.

Analyser ses résultats pour s’améliorer

Le copywriting, ce n’est pas que de la créativité. C’est aussi une discipline d’analyse. Chaque campagne, chaque publication est un test. Ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas, tout doit être mesuré et compris. C’est cette analyse qui permet d’optimiser, d’ajuster, de perfectionner.

Là, je mets un point d’honneur à mêler créativité et performance. J’analyse tout : taux de clics, de conversion, d’engagement, et j’ajuste au millimètre. Les chiffres sont clairs : ils montrent ce qui marche, ce qui doit être corrigé, ce qu’il faut reproduire.

Évitez les intuitions sans fondement. Fiez-vous aux données. Cette rigueur, c’est ce qui garantit des résultats solides, une progression constante et un vrai niveau d’excellence.

Au final, quand peut-on se dire copywriter, un vrai ?

Quand peut-on se dire copywriter, un vrai ?

Se dire « copywriter », c’est bien plus qu’un joli mot qui sonne bien sur un profil LinkedIn. Ce n’est pas un titre qu’on s’offre à soi-même, comme une médaille pour effort. Non, être copywriter, c’est mériter son statut à chaque ligne, à chaque projet, à chaque échec.

Quand j’ai démarré, en 2011, je n’avais ni certificat doré ni formation estampillée “copywriting”. Rien pour impressionner. J’avais des heures de travail dans les jambes, des idées qui plantaient, et des essais qui n’étaient pas toujours couronnés de succès. Ce que ça m’a appris ? Un copywriter, un vrai, c’est celui qui peut transformer une phrase banale en un message qui frappe et qui vend, sans tricher.

Alors, on devient copywriter quand ? Ce n’est pas en cochant une liste de cases. Ce moment, il arrive quand vos clients reviennent, satisfaits, parce qu’ils voient ce que vos mots leur rapportent. Quand vous avez avalé les bases (SEO, structure persuasive, toutes ces astuces qu’on adore) et que vous savez les plier à votre style, à votre voix, sans vous perdre.

Mais, attention, un copywriter, c’est aussi celui qui ne s’arrête jamais d’apprendre. Moi, après plus de dix ans de projets et de nuits blanches, j’en découvre encore, et ça fait partie du jeu. C’est même essentiel. Chaque nouveau contrat, c’est une occasion de se challenger, d’affiner son message, de se mettre à l’épreuve.

>>> À lire également : Comment se faire une place en tant que rédacteur web débutant en 2024 ?

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